Plan cul Cachan

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Mon plan cul avec Samia la beurette à Cachan

Annonce-salope.fr m’offrait une fenêtre vers l’excitation et le vice, un refuge où je pouvais assouvir mes fantasmes les plus secrets. Je fis défiler les profils, cherchant une partenaire compatible pour une nuit de débauche et de plaisir. C’est alors que je tombai sur Samia, une beauté nord-africaine de trente ans, à la peau dorée et aux courbes sinueuses. Je l’invitai à venir chez moi, situé dans la banlieue parisienne, à Cachan, sans oser lui envoyer ma photo, mais plutôt celle d’un bellâtre de cinquante ans.

Préparation du plan cul

Je passai les heures suivantes à nettoyer mon appartement pour ce plan cul, à préparer les jouets et accessoires nécessaires pour bien m’amuser. Je mis en place une petite table ornée de godes, de cordes, de menottes, et de quelques fruits et légumes, ainsi qu’un bandeau pour masquer temporairement sa vision.

L’entrée en scène de Samia

Elle arriva à l’heure, rayonnante et splendide, habillée d’une robe moulante rouge qui mettait en valeur sa silhouette et d’un chemisier blanc transparent qui laissait deviner ses tétons durcis par l’excitation. Elle ferma la porte derrière elle et, sans un mot, enfila le bandeau que je lui avais préparé.

Instinctivement, elle se dirigea vers le divan et s’installa confortablement, avant de commencer à se caresser avec les objets que je lui avais préparés. Je la regardai à travers le trou de la serrure de ma chambre, mon cœur battant à tout rompre, mon sexe raidi par l’anticipation.

L’observation et la frustration

Je me branlai doucement en l’observant, sentant la chaleur monter en moi. Je voulais aller la rejoindre, la toucher, la goûter, mais je me retins, préférant prolonger ce moment d’auto-satisfaction.Sa respiration devenait de plus en plus erratique, et ses gémissements se firent plus insistants. J’entendis presque les bruits des sextoys et des fruits et légumes qu’elle remuait dans sa chatte étroite et mouillée. Ces bruits semblaient montrer à quel point elle était humide. Ses gémissements appelant mon sexe pour la satisfaire. Finalement, je ne pus résister plus longtemps.

L’intervention et la prise de pouvoir

Je m’approchai d’elle, la caressant délicatement, sentant sa peau douce et veloutée sous mes doigts. Elle feignit de résister, mais je savais qu’elle en voulait plus. Je pris les objets les plus imposants et les enfonçai dans sa chatte, provoquant des gémissements de plaisir et de surprise. Puis je la retournai et la pénétrai brutalement, sentant son corps trembler sous mes coups de butoirs. Je ne m’arrêtai pas, même lorsqu’elle supplia que j’enlève son bandeau. Je voulais qu’elle me voie, qu’elle voie mon visage laid et ridé, qu’elle réalise que ce n’était pas le bel homme de cinquante ans qu’elle avait vu en photo.

La confrontation et l’humiliation

Lorsque je lui enlevai enfin le bandeau, elle ouvrit les yeux, surprise et choquée. Elle me regarda, décontenancée, avant de me supplier d’arrêter. Mais je ne l’écoutai pas. Je continuai à la traiter de salope, de pute, de catin, humiliant son corps et sa dignité. Finalement après quelques minutes elle se mit à jouir, rouge de honte de se faire enculer par un vieux porc comme moi. Puis se fut à mon tour de jouir quelques jets de foutre au fond de son anus. Elle s’arracha alors à moi et ne m’adressa plus la parole, son regard était méprisant au début, puis distant, et finalement absent.

La fuite et le regret

Elle s’habilla en quelques minutes et partit, me laissant seul dans mon appartement, avec mon sexe dégoulinant de sa mouille, et un filet de sperme s’écoulant de mon gland jusqu’au divan. Je me sentais un peu triste, déçu mais pas tant que cela, mon esprit embrouillé me disait que j’avais finalement obtenu ce que je voulais, puis je me mis à douter. Je m’allongeai sur mon lit, la gorge serrée et les larmes aux yeux, me demandant ce qui m’avait pris.

Questionnement sur moi-même

Est-ce que j’avais mérité un tel mépris ? Aurais-je dû être plus gentil, ou plus honnête et envoyer une vraie photo ? Aurait-il fallu que je sois plus attentionné, cela aurait-il suffit à lui plaire? Ou étais-je condamné à repousser les femmes, le monstre que je voyais chaque matin dans le miroir pouvait-il plaire et baiser sans user de ce genre de stratagème ? J’en doute…

Mon avis sur ce plan cul

Note finale : 6/10. La rencontre a été satisfaisante, mais je ne peux ignorer le sentiment amer qui me hante. Je devrai peut-être revenir à mes habitudes, aux prostituées professionnelles qui savent comment gérer un client comme moi. Mais peut-être que, un jour, je trouverai une femme qui m’acceptera tel que je suis, laid et pervers.