Plan cul Combs-la-Ville

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Le plan cul d’Olivier avec Marguerite à Combs-la-Ville

Je suis Olivier, 39 ans, 1m75 pour 68 kg. Mon corps svelte et sportif attire souvent les regards, et mes yeux verts ne laissent personne indifférent. On me complimente régulièrement sur mon physique. Avoir un beau physique c’est bien, mais je sentais depuis quelque temps que je ne profitais pas assez de cette chance. Il fallait que je profite de ce corps qui n’est pas donné à tout le monde, et j’avais besoin d’une dose de nouveauté et de passion dans ma vie. C’est ainsi qu’un soir, poussé par un mélange d’envie et de curiosité, j’ai décidé de me connecter sur annonce-salope.fr.

La connexion sur annonce-salope.fr : un saut vers l’inconnu

L’idée me trottait dans la tête depuis quelques semaines, et après une longue journée de travail, j’ai enfin franchi le pas. Je me suis installé devant mon ordinateur, un verre de vin à la main, prêt à me lancer dans cette aventure.

Créer mon profil n’a pas été une tâche facile. Je voulais être honnête sans trop en dévoiler, intrigant sans être trop explicite. J’ai décrit mes envies clairement : une recherche de sexe sans complications, des moments de plaisir partagés basés sur la confiance mutuelle. J’ai mentionné mes goûts pour des plaisirs variés, le cunnilingus, la fellation et exprimé mon intérêt pour l’uro en tant que receveur.

Pour éviter tout malentendu, j’ai aussi souligné que je ne pouvais pas recevoir chez moi, pour une première rencontre sur un site de plan cul, la prudence est de mise. En revanche, je me disais prêt à me déplace, mais pas trop loin de Combs-la-Ville pour rencontrer la bonne personne. Enfin, j’ai évoqué ma discrétion et mon envie d’explorer dans la perversité sans aller trop loin, espérant trouver quelqu’un qui comprendrait ces nuances.

Une fois mon profil mis en ligne, j’ai éteint l’ordinateur et suis allé me coucher, un mélange d’excitation et de doute dans l’esprit.

Les premières réponses : La naissance d’une connexion

Quelques jours plus tard, des notifications ont commencé à apparaître sur mon téléphone. C’était à la fois grisant et intimidant. Des messages de toutes sortes affluaient : certains grossiers venant de profils masculins, d’autres sans intérêt et à la limite de la vénalité que je me suis empressé de signaler, car c’était sûrement des arnaques ou du racolage. Mais au milieu de ce chaos numérique, des messages dont un en particulier a capté mon attention.

Celui de Marguerite. Son pseudo était simple et possédait un charme désuet, sa photo discrète. Un visage attirant, un sourire qui laissait deviner une femme confiante et à l’aise dans sa peau. Son message, direct et respectueux, était un souffle d’air frais dans cet océan de propositions.

Elle se présentait brièvement : 35 ans, brune, féminine et naturelle. Elle précisait être en quête d’un partenaire dans mon genre capable de respecter ses envies tout en explorant les siennes. Et justement, elle pensait que mon profil pouvait lui convenir et partageait en partie mes envies. Une phrase dans son message m’a marqué : « Je ne cherche pas un homme parfait, mais quelqu’un avec qui les imperfections deviennent des forces. »

Nous avons échangé quelques messages pour apprendre à nous connaître. Rapidement, une complicité s’est installée. Marguerite avait cet art de la conversation qui vous met à l’aise, mélangeant humour et profondeur. Elle n’était pas là pour perdre son temps, mais elle n’était pas pressée non plus.

Le rendez-vous : Entre excitation et appréhension

Après une semaine d’échanges, nous avons convenu d’un rendez-vous. Elle a choisi un café discret en centre-ville, un lieu idéal pour une première rencontre où l’on pourrait parler avant de passer à autre chose. Je me rappelle encore la montée d’adrénaline en lisant son dernier message de confirmation : « À demain, 19h. Je porterai une robe rouge. Fais-moi rêver, Olivier. »

Le début du rendez-vous

On avait décidé de se rencontrer dans un café de Combs-la-Ville en plein centre-ville, un endroit neutre pour vérifier notre chimie avant d’aller plus loin. J’y suis arrivé un peu en avance, cherchant un signe de sa présence. Marguerite est entrée, nos regards se sont croisés, et il y avait déjà cette tension électrique entre nous ; sa robe était magnifique et très sexy mais sans être vulgaire. On a commandé un café, échangé des banalités pour briser la glace, mais nos yeux et nos sourires disaient ce que nos mots taisaient.

Elle a commandé un verre d’eau avec le café, et en a repris un autre, en me disant qu’elle allait en avoir besoin. J’imaginais le message qu’elle voulait faire passer mais je ne savais pas si elle était sérieuse. Après quelques minutes, Marguerite a proposé de continuer notre « discussion » chez elle, non loin de là.

Les plaisirs partagés

Nous sommes arrivés assez rapidement à son appartement, très bien rangé et confortable. Nous avons discuté de tout et de rien, assis sur son canapé, et la discussion a pris une tournure un peu plus coquine ; elle était très tactile et séductrice. D’un coup, la voilà qui se lève et revient avec une jolie carafe d’eau dans laquelle flottaient de nombreux glaçons. Elle m’explique en buvant trois verres à la suite que cette eau fraîche allait vite faire son effet et permettre de réaliser un de mes désirs. Cette fois, c’était sûr, j’allais enfin tester l’uro, mon rêve inassouvi depuis des années, un désir trop inavouable.

Marguerite m’a alors saisi par la nuque pour rapprocher mon visage du bas de son corps en relevant sa robe, la chaleur a monté rapidement. Mes lèvres ont parcouru ses cuisses, et là je m’aperçois de son absence de petite culotte. J’attrape donc ses fesses à pleine main, et je ne pouvais plus me contrôler en voyant sa superbe chatte sans poils… Ma langue s’est aventurée dans ses replis les plus intimes, titillant son clitoris jusqu’à ce que ses gémissements remplissent la pièce.

L’anulingus a suivi, ma langue plongeant dans son anus révélant ma rébellion contre l’interdit, et la faisant frémir de plaisir. Nous avons joué ainsi pendant un bon moment, puis mon tour est venu et j’ai eu le droit à une fellation réalisée avec brio et faisant son effet, mon sexe était tendu au maximum. Elle me posa une capote sur le sexe et se mit en position de levrette, mais ne me laissa pas la baiser, elle demanda directement la sodomie. Je m’introduis, la sensation était délicieuse et la pénétration profonde, son petit trou avait une bonne élasticité.

Je ne peux décrire cette sensation de sentir son anus se resserrer autour de moi, chaque coup de reins impliquait un cri de plaisir partagé. Et nous avons fini par jouir, en même temps, comme si nous étions amants depuis des années. Ce plan cul réservait bien des surprises et ne pouvait pas mieux se dérouler. Je n’avais aucune envie de partir malgré l’éjaculation. Nous étions bien, un petit moment à se câliner, et sa main commence à se diriger vers mon sexe pour retirer la capote. Je l’avais oublié celle-là. Elle me suça un peu et me proposa l’uro, m’expliquant qu’elle ne pouvait plus se retenir. Je me suis allongé rapidement sur le sol carrelé, et elle me jeta un coussin.

Posant ma tête sur le coussin bien moelleux, j’étais prêt, et plein d’audace, j’ouvris la bouche en grand, Marguerite se mit à rire en me traitant de malade, mais j’assumais malgré l’appréhension. Mais ce fut incroyable, cet instant où elle s’est positionnée au-dessus de ma bouche, sa chatte superbe s’ouvrant comme une fleur, quelques gouttes, et puis ce jet doré jaillissant directement dans ma bouche. Mais ma bouche remplie, elle stoppa net, me disant « avale ». J’ai avalé gorgée par gorgée, tandis qu’elle pissait petit jet par petit jet, la sensation chaude et salée, chaque goutte une transgression, chaque gorgée un acte de soumission et de contrôle, le visuel de son plaisir inondant mes sens. Il était temps de passer à la douche, la tête encore pleine des images inoubliables.

Je ne sais pas si je la reverrai ou si elle me rappellera, mais je ne suis pas prêt d’effacer son numéro ; en attendant, je vais traiter les messages qui se sont accumulés cette semaine, on ne sait jamais ;).

Mon avis sur ce plan cul

Ce rendez-vous a été une putain de révélation. Marguerite était aventureuse, prête à explorer chaque limite, attentive à la sécurité. J’aime quand le sexe est sans chichis, brut et intense. Cette fille a été la partenaire parfaite pour ça, et je recommanderais cette expérience à quiconque cherche à s’envoyer en l’air sans les complications.