Plan cul Cugnaux

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Le plan cul de Laurent avec Élodie sur Cugnaux

J’avais posté une annonce sur annonce-salope.fr, me décrivant comme un soumis, spécialiste dans le léchage de chatte et de cul, prêt à servir une maîtresse dominante. Élodie a répondu à mon appel, attirée par mon désir de servir et de plaire. Je lui ai écrit, me présentant comme Laurent, son soumis dévoué, prêt à lui donner du plaisir n’importe ou à Cugnaux, ou même au bout du monde.

Elle a utilisé le matériel BDSM sur moi

À notre premier rendez-vous, chez moi dans mon bel appartement, l’ambiance était chargée d’une tension excitante. Élodie a pris le contrôle immédiatement, utilisant les jouets que j’avais mentionnés : des plugs, des godes, et même mon propre corps comme instrument de son plaisir. Elle m’a bandé les yeux, me mettant un collier, me traitant comme son animal de compagnie. J’ai senti chaque plug s’insérer, étirant mon anus, chaque gode pénétrant avec une précision qui m’a fait gémir de plaisir et de douleur. Elle a joué avec moi, me guidant à lécher et à nettoyer, mes sens exacerbés par l’obscurité.

J’ai décrit mes pratiques de soumission

Pendant qu’elle me dominait, je lui ai parlé de mes pratiques, de mon amour pour l’urologie, le dressage, et le travail des orifices. J’ai léché sa chatte et son cul avec une dévotion qui semblait l’exciter, chaque coup de langue un hommage à sa domination. Elle a pris plaisir à me soumettre, utilisant ma queue dure pour son propre plaisir, me laissant dans un état de soumission totale et de désir inassouvi.

Le premier rendez-vous prometteur

Ce premier rendez-vous était magique, chaque acte de soumission renforçant notre connexion. J’ai aimé chaque instant où elle m’a utilisé, chaque geste de sa part une leçon d’humilité et de désir. Nous avons discuté de nos limites, de notre consentement, établissant une base solide pour ce qui allait suivre.

Le rendez-vous suivant : l’expérience scato

Deux jours plus tard, nous nous sommes retrouvés pour le rendez-vous tant attendu, celui où j’avais exprimé mon désir de vivre mes fantasmes scatologiques. Nous étions dans un endroit discret, préparé pour l’occasion, une pièce aux murs carrelés, facile à nettoyer. L’ambiance était différente, plus intense, plus dangereuse.

Mon visage juste en dessous de son cul

Elodie s’est assise sur une chaise haute, me regardant avec une autorité qui m’a fait trembler. Elle m’a ordonné de m’agenouiller devant elle, mon visage juste en dessous de son cul. J’étais prêt, ou du moins, je pensais l’être. Elle a commencé à pousser, et ce qui est sorti a été une vision d’horreur. La merde était presque liquide, une mixture brunâtre et malodorante qui s’est répandue sur mon visage. La sensation était atroce, la chaleur, la texture, l’odeur insupportable. Mes yeux ont brûlé, mon nez a été envahi par une puanteur qui semblait s’accrocher à chaque fibre de mon être.

La réalité de l’expérience scato

J’avais rêvé de ce moment, imaginé le goût, l’acte de nettoyage comme une ultime preuve de ma soumission, mais la réalité était bien différente. L’acte de manger sa merde a été un choc, un mélange de dégoût et de regret. J’ai tenté de nettoyer, mais chaque bouchée était un combat contre mon propre estomac, chaque goutte sur mon visage une humiliation que je n’avais pas anticipée. La vue de son anus dilaté, la sensation de cette matière sur ma peau, tout cela était bien loin de l’excitation que j’avais espérée.

L’après-scato

Malgré des heures passées à me brosser les dents, à me laver le visage avec vigueur, l’odeur persistait. C’était comme si cette expérience avait laissé une empreinte olfactive indélébile sur moi. Chaque fois que je respire, j’ai l’impression de sentir encore cette merde, un rappel constant de mon erreur de jugement.

J’écris ces lignes avec une déception profonde, non seulement à cause de l’expérience elle-même mais aussi parce que ce premier rendez-vous avait été si prometteur. Je pensais avoir trouvé une maîtresse qui comprenait mes désirs, qui savait naviguer dans les eaux troubles de la domination et de la soumission. Mais cette rencontre a révélé une limite que je n’avais pas anticipée, une frontière que je n’étais pas prêt à franchir.

Avis sur ces plans cul

Le premier rendez-vous avec Élodie a été une révélation, une exploration respectueuse et excitante de la soumission. La suite, cependant, a été une leçon brutale sur les limites personnelles et les fantasmes non réalisés. Pour ceux qui cherchent à explorer des pratiques extrêmes, il est vital de comprendre que la réalité peut être bien différente de l’imagination. Élodie, dans sa maîtrise, a su me pousser à mes limites, mais cette expérience scato m’a appris que certaines frontières ne sont pas faites pour être traversées. Elle reste une maîtresse exceptionnelle, capable de domination douce ou dure, mais cette aventure m’a laissé avec une amertume et une odeur qui semblent ne jamais vouloir partir.