Le plan cul d’Olivier avec Honorine à Fort-de-France
Je m’appelle Olivier, 47 ans, un mec dominant qui a roulé sa bosse, un Parisien avec un goût prononcé pour les plans bien corsés. Honorine, je l’ai chopée sur annonce-salope.fr, une Martiniquaise salope et soumise qui voulait découvrir le sado-maso, novice mais avec une envie qui m’a tout de suite mis en transe. On s’est retrouvés à Fort-de-France, et ce qu’on a vécu, c’était crade, intense, du pur kiff.
Le rendez-vous avec cette salope
On s’est pointés au Café des Arts, un bar stylé en plein centre, juste à côté de la Bibliothèque Schœlcher avec ses couleurs qui pètent sous le soleil. Les ventilateurs tournaient à fond dans l’air lourd, et on a descendu un ti-punch en se scrutant. Elle portait une robe rouge ultra moulante, des talons qui résonnaient, et je devinais sa lingerie noire dessous, bas et porte-jarretelles malgré la chaleur collante. Ses yeux bruns brillaient d’une excitation nerveuse, et moi, ma queue frémissait déjà à l’idée de la suite. On a parlé de ses désirs, de son passé un peu trop sage, et de cette pulsion qu’elle voulait libérer : se faire dresser. « Tu veux vraiment que je te prenne en main ? » je lui ai demandé, un sourire en coin. Elle a murmuré, « Oui, je suis prête à tout essayer », ses doigts tremblant légèrement sur son verre. Je lui ai proposé de venir chez moi, un appart discret près du Parc Floral, avec les flamboyants qui flambent dehors.
Je la caresse et la déshabille
Chez moi, le ton a changé illico. Je lui ai ordonné de se tenir au milieu du salon, jambes écartées, mains dans le dos. Les rideaux laissaient passer une lumière douce, et l’odeur sucrée des mangues sur la table se mêlait à l’air moite. Je me suis approché, ma main a frôlé sa nuque, puis ses seins emprisonnés dans sa robe. Je l’ai embrassée brutalement, ma langue envahissant sa bouche, pendant que mes doigts glissaient sur ses cuisses. Elle vibrait légèrement, ses petits gémissements me disaient qu’elle était à fond. J’ai relevé sa robe d’un coup, dévoilant son string noir en dentelle et ses bas qui galbaient ses jambes bronzées. « Regarde-toi, t’es faite pour ça », je lui ai lancé en dégageant son soutif, libérant ses seins ronds aux tétons déjà pointus. Je les ai malaxés, pincés, pendant qu’elle baissait les yeux, docile.
Je la mets à quatre pattes et la cravache
Je lui ai claqué le cul pour la faire réagir. « À quatre pattes, maintenant ! » Elle s’est exécutée, son cul bien bombé sous mon nez. J’ai sorti un collier en cuir noir et une laisse d’un tiroir, mes jouets toujours à portée. Une fois le collier autour de son cou, je l’ai tirée vers la table basse où traînait ma cravache. « Va me la chercher, et tends-la-moi bien sagement », je lui ai ordonné, la voix rauque. Elle a rampé, ses talons griffant le parquet, et m’a présenté l’objet, regard baissé. J’ai fait claquer la cravache sur ses fesses, un bruit sec qui a rempli la pièce, suivi d’un cri étouffé. Sa peau mate rougissait à vue d’œil, et l’odeur de sa sueur mêlée à son parfum bon marché me montait au cerveau. « Avance, salope », je lui ai soufflé en la cravachant encore, la guidant jusqu’au canapé.
Je la fesse et la doigte
Sur le canapé, je l’ai mise à genoux face à moi. J’ai pris un rouge à lèvres rouge sang et j’ai écrit « salope » sur sa poitrine, puis « chienne » sur son ventre. Elle frissonnait à chaque lettre. J’ai fixé des pinces réglables sur ses tétons, et elle a gémi quand j’ai tiré sur la chaîne qui les reliait. J’ai écarté son string trempé, glissé mon index sur son clito gonflé, puis enfoncé deux doigts dans sa chatte déjà ruisselante. « Dis-moi que t’aimes ça », je lui ai murmuré à l’oreille. « Oui, j’adore… continue », a-t-elle soufflé, lèvres pincées. J’ai léché mes doigts, savourant sa mouille sucrée, avant de lui coller une série de fessées qui faisaient claquer sa peau. Le paddle a suivi, le cuir frappant son cul jusqu’à ce qu’il soit écarlate.
Je l’attache et la sodomise
On a filé vers la table de la cuisine. J’ai sorti une corde, attaché ses poignets, et l’ai penchée en avant, son buste plaqué sur le bois brut. Son string a fini dans sa bouche comme bâillon, et j’ai bandé ses yeux avec un foulard noir. J’ai écarté ses jambes, menotté ses chevilles aux pieds de la table, et elle était là, cul en l’air, à ma merci. Je lui ai claqué les fesses encore, puis j’ai pris le martinet. Les lanières ont caressé son dos avant de s’abattre, laissant des traces rouges qui la faisaient se tortiller. Ma queue était dure à en crever. J’ai chopé un gros vibro, l’ai collé sur son clito jusqu’à ce qu’elle jouisse en hurlant dans son bâillon. Puis je l’ai prise, d’abord sa chatte dégoulinante, ensuite son cul serré. Je l’ai défoncée sauvagement, alternant les trous, en lui lançant, « T’es à moi, Honorine, dis-le ! » Elle a gémi plus fort, « Oui, je suis ta pute », son cul rebondissant à chaque coup.
Avis sur ce plan cul
Ce plan cul avec Honorine, c’était une tuerie. Elle m’a bluffé par sa façon de se donner, de plonger dans le truc alors qu’elle découvrait tout. Moi, j’ai kiffé la contrôler, sentir son corps répondre à chaque ordre. L’ambiance de Fort-de-France, avec cette chaleur étouffante et l’odeur saline de la mer qui venait du Malécon, a amplifié le délire. Elle m’a dit qu’elle avait adoré, et je la crois sur parole. C’était brut, sale, et bordel, ça m’a donné envie de remettre le couvert. Une salope comme elle, ça court pas les rues.