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J’aimerais rencontrer des mecs célibataires pour un moment libertin car je voudrais découvrir l’amour à 3. Toutefois je tiens à vous prévenir que j’accepte d’être pénétrée seulement avec capote.
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Le plan cul de Mathis avec Bérangère à Fos-sur-Mer
Je m’appelle Mathis, 35 ans, brun, costaud, un mec qui vit pour les fantasmes, des plus doux aux plus tordus. Bérangère, je l’ai dégotée sur annonce-salope.fr, une nana curieuse, prête à tout tester. On s’est retrouvés à Fos-sur-Mer, et ce plan cul, c’était une descente dans le vice, un truc brut et mémorable. Fos, avec son air salé et son décor industriel, collait parfaitement à notre délire.
Je la surprends dans la cabine d’essayage
Tout a commencé au Centre Commercial Grand Littoral, près de la zone portuaire, où les odeurs de sel marin se mélangent au bitume chaud. Elle m’avait dit qu’elle essayerait de la lingerie sportive chez Go Sport. J’ai poussé la porte d’une cabine « par hasard », et elle était là, en brassière grise moulante et shorty noir qui lui sculptait le cul. Elle a sursauté, mais ses yeux verts m’ont vite accroché, pleins de curiosité. Nos bouches se sont trouvées, nos langues se sont battues, et l’excitation a explosé, amplifiée par les bruits étouffés des clients dehors. « T’es pas discret, toi », elle a soufflé avec un sourire, et j’ai répondu, « T’as vu ce que tu me fais ? » L’air sentait le tissu neuf, et sa peau portait un parfum léger, jasmin ou quelque chose comme ça.
Je la déshabille et lui fais un cunni
Je l’ai plaquée contre la paroi, mes mains ont arraché sa brassière. Ses seins ronds, parfaits, ont jailli, tétons roses déjà dressés. Je les ai embrassés, sucés avec fougue, pendant qu’elle étouffait un gémissement, on risquait de se faire griller. J’ai viré son shorty, dévoilant sa chatte épilée, luisante de désir. À genoux sur le sol glacé, j’ai plongé ma langue entre ses cuisses, un cunni d’abord tendre, puis sauvage. Elle agrippait mes cheveux, ses jambes tremblaient, et sa mouille avait ce goût sucré qui me rendait dingue. « Continue, putain », elle a murmuré, à peine audible, et j’ai accentué, la faisant vaciller contre la paroi. Le danger de se faire capter rendait chaque coup de langue électrique.
Je la prends par derrière dans la cabine
Je me suis redressé, ma langue a glissé le long de sa colonne vertébrale, lui arrachant des frissons. Elle a cambré son cul contre moi, et ma queue, raide comme jamais, s’est frottée à son petit trou. « Vas-y doucement, d’accord ? » elle a murmuré, mais son bassin roulait déjà. « T’inquiète, je vais te faire kiffer », j’ai répondu, la voix rauque. J’ai enfoncé un doigt, puis deux, dans son cul serré, testant sa chaleur. Allongée sur le banc étroit, mains en arrière sur mes cuisses, elle m’a laissé entrer. J’ai pénétré son cul, d’abord lent, puis plus brutal quand elle a accéléré. La cabine puait le sexe, nos peaux claquaient en silence, et l’interdit de pas pouvoir crier m’a fait jouir comme un malade, ma semence giclant au fond d’elle.
Je la chauffe dans un parking souterrain
Le lendemain, on s’est revus près du Parking des Salins, un coin sombre sous le centre-ville, avec ses piliers en béton et son odeur d’essence. Elle portait une jupe courte, sans rien dessous, et m’a laissé mater sa chatte en écartant les jambes sur le siège passager de ma caisse. Je l’ai doigtée direct, mes doigts trempés par sa mouille, pendant qu’elle me branlait à travers mon froc. « T’es vraiment une salope, Bérangère », je lui ai glissé, et elle a ri, « Et toi, t’adores ça, non ? » On entendait les bagnoles au loin, et le risque m’a fait bander encore plus dur.
Je la baise dans les toilettes du train
Quelques jours après, on s’est donné rendez-vous dans un TER à la Gare de Fos-sur-Mer. L’été cognait, l’air était lourd, et elle était en face de moi, jupe légère, jambes croisées puis décroisées, pas de culotte, sa chatte lisse en plein dans mon viseur. Elle jouait avec moi, la pute, et ma queue gonflait dans mon jean. On s’est levés, direction les chiottes du wagon. Porte fermée, je l’ai plaquée contre le lavabo, doigts dans sa chatte trempée pendant qu’elle sortait ma bite. « Baise-moi vite, avant qu’on nous capte », elle a haleté. « T’es trop bonne comme ça », j’ai lâché en la retournant, jupe relevée, et je l’ai défoncée, sa chatte puis son cul, en alternant sauvagement. Le train vibrait, couvrant nos souffles, et l’odeur métallique se mêlait à celle de nos corps en sueur.
Je la mate au bord de l’Étang de Lavalduc
Un soir, on s’est posés près de l’Étang de Lavalduc, un lac salé rose qui scintille sous le ciel lourd. Elle s’est mise à poil, juste des bas noirs, et s’est caressée devant moi, doigts dans sa chatte pendant que je matais, ma queue à la main. La lumière du coucher de soleil faisait briller sa peau, et le vent portait ses petits gémissements. « Viens me prendre, Mathis », elle a lâché, les yeux brillants, et j’ai craqué, un cunni rapide sur l’herbe, puis une sodo féroce, son cul claquant contre moi sous le ciel qui s’assombrissait. « T’es à moi là-dedans », je lui ai soufflé, et elle a gémi, « Oui, prends tout. »
Avis sur ce plan cul
Bérangère, c’était une révélation. Elle m’a scotché par sa capacité à kiffer le danger et à se lâcher, que ce soit dans une cabine, un parking ou un train. Fos-sur-Mer, avec son côté brut, son port qui pue le fioul et ses coins paumés, a rendu chaque moment plus intense. Elle m’a avoué qu’elle adorait jouer avec le feu, et moi, j’ai pris un pied monstre à la voir si salope. Ces plans, ça m’a marqué, et putain, j’ai déjà envie de la retrouver pour remettre ça. Une nana pareille, c’est du lourd.