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Coucou les gens, j’habite sur Fougères, je suis séduisante et ce que j’apprécierais c’est de branler un homme lors d’ un plan cul régulier chez vous ou chez moi. A bientôt les coquins.
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Je suis une grosse chiennasse habitant Fougères et je me sens terriblement chaude. Laissez moi votre tel, on baisera dans mon appart.
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Je réside à quelques km de Fougères et j’ai 19 ans, je recherche un plan cul avec un mec de mon âge car je voudrais tester ce site de rencontre. Contactez moi, je promet de vous répondre.
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Bruz – Cesson-Sévigné – Fougères – Rennes – Saint-Malo – Vitré
Je m’appelle Léo, 32 ans, un mec au sang chaud, tatoué, qui kiffe les plans où ça cogne et où ça va loin. Daphné, je l’ai chopée sur annonce-salope.fr, une brune aux airs sages mais avec une lueur vicieuse dans les yeux. On s’est retrouvés à Fougères, cette ville bretonne avec ses ruelles pavées et son odeur de mousse sur les pavés. Ce qu’on a vécu, c’était un mélange de soft et de hard, un truc qui m’a laissé sur le cul.
Ça a démarré près du Château de Fougères, ce vieux tas de pierres qui domine la ville. Elle m’avait dit qu’elle viendrait en uniforme, une tenue d’infirmière sexy, blouse blanche entrouverte, bas résille et talons rouges. Je l’ai matée de loin, planqué derrière un mur, pendant qu’elle se baladait dans les jardins, l’air innocent. Sa jupe moulait son cul, et ses seins débordaient presque du tissu. Ma queue a durci direct dans mon froc, l’idée de la voyeuse m’excitant à mort. Elle m’a repéré, m’a fait un clin d’œil, et on s’est retrouvés dans une ruelle adjacente, à l’abri des regards. « Tu joues bien l’innocente », je lui ai glissé, et elle a répondu, « Attends de voir ce que je cache. »
Dans la ruelle près de la Rue de la Pinterie, où flotte l’odeur de la mousse sur les pavés, je l’ai plaquée contre un mur. J’ai relevé sa blouse, dévoilant sa lingerie rouge, string et soutif en dentelle. J’ai arraché le haut, libérant ses gros seins lourds, et je leur ai léché la peau, sucé les tétons en mordant doucement pendant qu’elle gémissait à voix basse. Elle a glissé une main dans mon jean, mais j’ai pris les devants : je l’ai mise à genoux, sorti ma bite, et elle m’a fait une branlette espagnole de dingue, ses seins chauds enserrant ma queue. « T’aimes ça, hein ? » je lui ai lancé, la voix rauque, et elle a murmuré, « Plus que tu crois », ses yeux brillants. L’odeur de son parfum sucré emplissait l’air, un contraste qui m’a rendu fou.
On a filé vers ma caisse, garée près du Parking du Nançon, un coin discret avec vue sur la rivière. Je l’ai poussée sur la banquette arrière, cul en l’air, et j’ai baissé son string. Ma langue a d’abord léché sa chatte trempée, puis son petit trou serré, avant de passer à l’action. Elle a cambré encore plus, et j’y suis allé : je l’ai sodomisée d’un coup sec, ma bite enfoncée jusqu’à la garde dans son cul. Elle a gémi, le son résonnant dans l’habitacle où l’odeur du cuir se mêlait à nos effluves brûlants. Je l’ai défoncée, mes mains claquant ses fesses, et après un moment, je lui ai ordonné, « Dis que t’es une méchante fille. » Elle a balbutié, « Je suis une méchante fille, je recommencerai plus », sa voix tremblante, mais son cul qui ondulait disait le contraire.
Elle criait trop fort, alors j’ai attrapé son string et l’ai fourré dans sa bouche pour la bâillonner. J’ai chopé une petite bouteille d’eau en plastique qui traînait, un truc con mais parfait pour le moment, et je l’ai enfoncée par le goulot presque entièrement dans sa chatte dégoulinante. Elle a hurlé dans le tissu, ses yeux pleins de larmes, et j’ai claqué ses cuisses pour la calmer. Mais vite, ses pleurs ont viré en gémissements étouffés. « Tu kiffes, petite salope ? » je lui ai soufflé, et elle a hoché la tête, tremblante. Cette vicieuse m’a surpris en se dégageant, montant sur moi, ma bite bien au fond de sa chatte cette fois. Elle ondulait, se cabrait, et on a joui ensemble, un truc violent qui l’a laissée écroulée sur moi, à bout de souffle.
Même crevée, je l’ai pas laissée se reposer. Je l’ai relevée, ses cheveux collés par la sueur, et je lui ai ordonné, « Lèche ma bite, nettoie tout. » Ma queue était encore gluante de sperme et de sa mouille, et elle s’est appliquée, langue dehors, avalant chaque goutte. « Fais ça bien », je lui ai murmuré, et elle a répondu d’une voix faible, « Oui, Léo… » Une odeur salée flottait dans la bagnole, et le bruit de sa langue sur ma peau me faisait presque rebander. Elle était docile, épuisée, mais toujours dans le jeu, une vraie salope qui assumait.
Le lendemain, on s’est retrouvés près de la Forêt de Fougères, un coin sauvage avec ses pins et son air frais chargé de terre. Sous un arbre, elle s’est mise à quatre pattes, jupe relevée, et m’a sucé profond, gorge pleine, avant que je la prenne par derrière, chatte et cul, encore et encore. Les oiseaux chantaient au-dessus, et le sol craquait sous nos mouvements. « Plus fort », elle a gémi entre deux souffles, et j’ai obéi, la défonçant jusqu’à ce qu’elle jouisse en silence, tremblante. Moi aussi, j’ai tout vidé, ce qui me restait s’écrasant sur l’herbe.
Daphné, c’était une tornade. Elle m’a bluffé par sa capacité à encaisser, à kiffer le hard tout en jouant la soumise. Fougères, avec son château médiéval et ses coins paumés, a rendu chaque instant plus brut, plus réel. L’air frais de la forêt, l’humidité de la ville, tout collait à notre délire. Elle m’a dit après qu’elle avait adoré être poussée dans ses retranchements, et moi, j’ai pris un pied énorme à la dominer. Cette salope m’a donné envie de recommencer, direct, sans attendre. Un plan comme ça, ça marque.
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