Plan cul Franconville

Villes de Val-d’Oise en région Île-de-France

Argenteuil – Bezons – Cergy – Cormeilles-en-Parisis – Deuil-la-Barre – Eaubonne – Éragny – Ermont – Franconville – Garges-lès-Gonesse – Gonesse – Goussainville – Herblay-sur-Seine  – Jouy-le-Moutier – Montigny-lès-Cormeilles – Montmorency – Osny – Pontoise – Saint-Gratien – Saint-Ouen-l’Aumône – Sannois – Sarcelles – Soisy-sous-Montmorency – Taverny – Vauréal – Villiers-le-Bel

Le plan cul de Clément avec Eva à Franconville

Je m’appelle Clément, 38 ans, black, baraqué, une queue bien épaisse et une endurance à faire pâlir n’importe qui. J’aime le sexe, le vrai, celui qui te retourne le corps et la tête. Eva, je l’ai chopée sur annonce-salope.fr, une blonde aux courbes affolantes, prête à se lâcher. On s’est donné rendez-vous chez moi, à Franconville, dans mon appart près de la Gare RER, et ce qu’on a vécu, c’était une masterclass de baise. J’ai passé des semaines à bosser le Kamasutra, à décortiquer chaque position, et putain, elle a pris cher.

Je la reçois autour d’un verre

Elle est arrivée un soir, le vent charriant l’odeur des platanes de la Rue de la Station. J’avais mis une bouteille de rhum sur la table, histoire de chauffer l’ambiance. Elle portait une robe noire moulante, talons hauts, et un string rouge que j’ai deviné direct sous le tissu. On a bu, rigolé, mes yeux glissant sur ses seins qui tendaient le décolleté. L’air sentait l’alcool et son parfum capiteux. « T’es prête à kiffer ce soir ? » je lui ai lancé, un sourire en coin, et elle a répondu, « Oh oui, fais-moi voir de quoi t’es capable », ses yeux pétillants de défi. Le désir montait, palpable dans la pièce aux rideaux tirés.

Je lui fais un cunni interminable

Je l’ai attirée sur le canapé, relevé sa robe, et viré son string d’un geste sec. Sa chatte était là, rose, lisse, déjà humide. Je me suis mis à genoux, mes mains écartant ses cuisses, et j’ai plongé. Ma langue a d’abord léché son clito, l’a encerclé, lente, précise, avant d’accélérer. Je l’ai léchée, alternant entre des coups profonds et des petits mouvements rapides, mes doigts écartant ses lèvres pour aller plus loin. Elle gémissait, son goût salé me remplissant la bouche, pendant que l’odeur de sa mouille se mêlait à celle du cuir du canapé. J’ai tenu comme ça vingt minutes, un cunni de malade, jusqu’à ce qu’elle tremble et jouisse en criant mon nom, les jambes serrées autour de mon visage.

Je la doigte comme un pro

Avant de la baiser, j’ai voulu la faire grimper encore. J’ai glissé mon index et mon majeur dans sa chatte trempée, paume vers le haut, en visant son point G, une technique que j’ai peaufinée. Mon pouce frottait son clito en cercles fermes, pendant que mes doigts faisaient des va-et-vient rapides, puis ralentissaient pour la faire mariner. Je sentais ses parois se contracter, chaudes, humides, et j’ai ajouté un troisième doigt, étirant sa chatte pendant qu’elle haletait. « T’aimes quand je te travaille comme ça ? » je lui ai glissé, et elle a gémi, « Oui, continue, c’est trop bon », les yeux révulsés. J’ai maîtrisé chaque mouvement, un as du doigtage, jusqu’à ce qu’elle jouisse encore, son corps secoué contre mes mains.

Je la baise en missionnaire amélioré

Je l’ai allongée sur le tapis, jambes écartées, et j’ai attaqué en missionnaire, mais pas n’importe lequel, le « Lotus » du Kamasutra. Ma queue, dure comme du bois, l’a pénétrée d’un coup, profonde, pendant que je relevais ses jambes sur mes épaules. Je la pilonnais, mes hanches claquant contre ses fesses, son odeur de sueur et de sexe emplissant l’air. Elle criait, griffait mon dos, et je sentais sa chatte se resserrer autour de ma bite. Le sol vibrait sous nous, et la vue de ses seins qui rebondissaient m’a poussé à aller encore plus fort.

Je la prends en levrette inversée

Je l’ai retournée, à quatre pattes, mais j’ai pivoté pour la « Levrette inversée », une tuerie du Kamasutra. Face à ses pieds, j’ai enfoncé ma queue dans sa chatte, mes mains agrippant ses hanches. L’angle était parfait, ma bite frottant des zones qu’elle découvrait à peine, et elle gémissait comme une chienne. Le bruit de nos peaux, le grincement du parquet, tout montait en intensité. Je l’ai défoncée, mes couilles tapant contre son cul, et elle a joui encore, son corps tremblant sous moi.

Je la soulève en « Union suspendue »

Pour finir, je l’ai relevée contre le mur, près de la fenêtre donnant sur la Place de la République. J’ai choisi l’« Union suspendue » : elle enroulée autour de ma taille, mes mains sous son cul, ma queue la pénétrant debout. Je la soulevais et la laissais retomber sur ma bite, chaque coup précis, profond, pendant que ses seins s’écrasaient contre mon torse. L’odeur de nos corps en sueur se mêlait à celle de la nuit qui rentrait par la vitre entrouverte. On a joui ensemble, un orgasme qui m’a vidé, et elle s’est effondrée contre moi, à bout.

Avis sur ce plan cul

Eva, c’était un feu d’artifice. Elle a encaissé mes assauts comme une reine, et moi, j’ai kiffé lui montrer que je suis un dieu de la baise. Franconville, avec ses rues calmes et son air frais, a rendu le truc encore plus intense en contraste. Elle m’a dit qu’elle avait jamais pris autant son pied, et je la crois, mes semaines à bosser le Kamasutra ont payé. Cette salope m’a donné envie de recommencer, de tester encore plus de positions. Un plan pareil, ça te marque à vie.