Plan cul Fresnes

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Le plan cul d’Ethan avec Léna à Fresnes

Je m’appelle Ethan, 29 ans, un mec taillé dans le roc, tout juste sorti de taule après deux ans à Fresnes pour un casse qui a mal tourné. Là-dedans, c’était l’enfer : des murs gris qui sentaient l’humidité, des nuits à rêver de chatte et de cul, le corps tendu par le manque. J’ai touché ma part du coup via un pote, et j’ai loué une suite au Hôtel Première Classe près de la N186. Léna, chopée sur annonce-salope.fr, était ma première proie, et putain, j’allais me lâcher comme jamais.

Elle se pointe en lingerie sous son imper

Elle a débarqué un soir, le ciel de Fresnes lourd et gris au-dessus des tours moches. Sous son imper noir, elle avait un ensemble rouge, soutif en dentelle, string minuscule, porte-jarretelles qui m’ont fait saliver direct. Je l’ai matée longtemps, ses seins débordant au-dessus du tissu, son cul bombé éclairé par la lumière jaunâtre de la lampe, ses jambes gainées se détachant sur le tapis usé. « T’es magnifique, une putain de délivrance », je lui ai lâché, la voix rauque, et elle a souri, « Alors fais-moi kiffer, Ethan. » L’air sentait son parfum capiteux et la clope que je venais d’écraser. Je l’ai invitée à s’asseoir sur le canapé râpé, et j’ai léché son cou, sa peau douce me faisant frissonner sous les doigts.

Je la mets à genoux pour une pipe

Je bandais déjà à mort, la queue prête à exploser après tout ce temps. « À genoux », je lui ai ordonné, le ton sec. Elle a déboutonné mon froc, sorti ma bite, grosse, lourde, palpitante. Elle m’a sucé, d’abord timide, puis profond, ses lèvres glissant sur moi pendant que je grondais de plaisir, la tête renversée contre le dossier. Le bruit humide de sa bouche emplissait la pièce, résonnant contre les murs fins de l’hôtel. Je l’ai chopée par les fesses, fermes et chaudes, et je l’ai portée jusqu’à la chambre, l’imper valdinguant sur le sol jonché de mégots écrasés.

Je lui enfonce ma bite dans la gorge

Sur le lit king size, elle s’est mise à quatre pattes, ses cheveux cascadant sur les draps froissés. J’ai attrapé une capote, mais d’abord, je me suis planté devant elle. « Ouvre grand », je lui ai dit, la voix basse, et j’ai enfoncé ma queue dans sa gorge, bien au fond, jusqu’à ce qu’elle bave sur le matelas. Elle m’a sucé plus de vingt minutes, sa langue s’activant, ses joues creusées, ses mains griffant mes cuisses. La liberté de ce moment, après deux ans de rien, me rendait dingue. Elle a fini avec des crampes à la mâchoire, mais je m’en battais les couilles, j’étais trop à fond.

Je la prends en levrette et la bâillonne

Je lui ai tordu les bras en arrière, ses seins et sa tête plaqués sur le tapis râpeux. J’ai arraché son string et l’ai fourré dans sa bouche. « Garde ça, salope », je lui ai soufflé en tirant ses cheveux. J’ai enfoncé ma bite dans sa chatte trempée, une levrette brutale, chaque coup faisant vibrer le lit, les ressorts grinçant sous la force. Je claquais son cul, laissant des marques rouges sur sa peau pâle, et je la trouais de plus en plus profond, ses gémissements étouffés résonnant dans la chambre. Ça me faisait bander encore plus, cette chaleur, ce bruit, tout ce que j’avais imaginé en taule.

Je lui bouffe la chatte et le cul

Je l’ai retournée, écartant ses cuisses pour plonger ma langue dans sa chatte. Elle dégoulinait, un goût sucré me remplissant la bouche. J’ai léché son clito, léché ses lèvres, puis je suis passé à son cul, forçant son trou serré avec ma langue. Elle tremblait, ses hanches se soulevant du matelas usé, ses doigts agrippant les draps déchirés. Le néon clignotant dehors jetait des ombres sur son corps, et je la bouffais jusqu’à ce qu’elle soit au bord de craquer, ma langue implacable.

Je l’encule jusqu’à la faire jouir

Capote enfilée, je l’ai enculée d’un coup sec, ma bite plongeant dans son cul, pleine de rage contenue. Je l’ai défoncée, brutal, profond, mes mains sur ses hanhes, le mur éraflé tremblant sous mes coups. Elle a joui par l’anus, un cri étouffé dans son bâillon, son corps secoué contre le lit. J’ai suivi, explosant dans la capote, un orgasme qui m’a vidé, libérant deux ans de frustration. La pièce vibrait encore, et moi, je reprenais mon souffle, enfin vivant.

Je la fais danser sur moi après

Elle était à moitié K.O., mais j’en avais pas fini. « Monte », je lui ai ordonné, le souffle court. Elle s’est empalée sur ma queue, encore raide, et a roulé des hanches, ses seins dansant sous mes yeux. Les lumières de la ZAC des Epineaux filtraient par la fenêtre, éclairant sa peau luisante, les ombres jouant sur les murs défraîchis. On a baisé comme ça, intense, jusqu’à ce qu’elle s’effondre sur moi, ses cheveux collant à mon torse.

Avis sur ce plan cul

Léna, c’était ma rédemption. Elle a pris tout ce que j’avais à donner, et moi, j’ai kiffé me défouler après ces mois à crever de manque. Fresnes, avec ses tours moches et son air chargé, collait à mon mood brut. Elle m’a dit qu’elle avait adoré, et putain, moi aussi, sortir de prison pour ça, c’était le paradis. Cette salope m’a fait revivre, et je compte bien la rappeler pour encore plus de vice.