Plan cul Fribourg

Le plan cul de Noé avec Lysiane à Fribourg

Je m’appelle Noé, 37 ans, black et patron d’une start-up dans le dating, un business qui commence à bien rapporter. Je suis un bogoss, 1m86, 76 kilos, un mec qui vit pour la domination, le BDSM bien hardcore. Dans le monde des affaires, j’ai appris la patience, mais là, c’est dehors que je me lâche. Lysiane, je l’ai trouvée sur annonce-salope.fr, une meuf qui cherchait à plonger dans la soumission. On s’est donné rendez-vous chez elle, à Fribourg, et j’ai débarqué avec ma valise pleine de matos : godes, plugs, cravache, menottes, collier, laisse. Ce qu’on a fait, c’était un voyage au bout de ses limites, et des miennes.

Je débarque chez elle en tenue sexy

Elle m’a ouvert la porte de son appart près de la Vieille Ville, là où les façades médiévales de Fribourg surplombent la Sarine. Elle portait une robe en latex noir, courte, avec des bas résille et des talons aiguilles qui claquaient sur le parquet ciré. Derrière elle, une vue sur les toits en tuiles rouges et le clocher de la Cathédrale Saint-Nicolas perçait la pénombre, ajoutant une vibe presque sacrée au truc. J’ai posé ma valise, l’ai regardée de haut en bas, ses seins tendaient le latex, son cul était une invitation. « T’es prête à obéir, chienne ? » je lui ai lancé, et elle a baissé les yeux, déjà dans le rôle, un frisson parcourant ses épaules.

Je l’examine et la prépare

Dans son salon, avec ses meubles en bois massif et une lumière tamisée qui filtrait des fenêtres à petits carreaux, j’ai commencé l’examen. Je l’ai fait se tenir droite, jambes écartées, et j’ai palpé son corps, ses seins, ses cuisses, puis ses trous. J’ai sorti un plug en silicone, bien large, et je l’ai enfoncé dans son cul, lentement, en écoutant son souffle s’accélérer contre le silence feutré de la pièce. « T’es ma servante maintenant », je lui ai grogné, avant de lui mettre un collier de chienne et une laisse. Elle tremblait, mais ses yeux brillaient d’excitation, reflétant la lueur des lampes anciennes.

Je la force à me sucer en gorge profonde

Je l’ai tirée par la laisse jusqu’au canapé, l’ai mise à genoux sur le tapis épais. J’ai sorti ma queue, déjà dure, et je l’ai enfoncée dans sa bouche, direct au fond de sa gorge. « Suce bien, salope », je lui ai ordonné, et elle s’est appliquée, bavant partout, les joues creusées, le bruit de sa gorge qui s’étouffait résonnant dans la pièce. Je l’ai tenue par les cheveux, forçant le rythme pendant vingt minutes, jusqu’à ce qu’elle manque d’air, les larmes aux yeux, ses mains crispées sur mes cuisses. Puis j’ai joui sur sa gueule, une faciale épaisse qui dégoulinait sur son menton, tachant le cuir du canapé.

Je la dilate et lui fait un fist

Je l’ai relevée, traînée jusqu’à la chambre avec vue sur le Pont de Zaehringen, ses arches en pierre éclairées par les lampadaires dans la nuit. Là, je l’ai attachée au lit avec des menottes, cul en l’air, les cordes grinçant contre les montants en bois. J’ai pris un gros gode, un monstre de 25 cm, et je l’ai enfoncé dans son cul, dilatant son trou jusqu’à ce qu’elle gémisse fort, son corps tendu contre les draps noirs. Ensuite, j’ai glissé ma main, un fist complet, sentant ses parois chaudes se contracter autour de mes doigts. Elle criait, le lit tremblait, et ses gémissements ricochaient contre les murs nus.

Je la sodomise et lui donne des baffes

J’ai retiré ma main, mis une capote, et je l’ai enculée d’un coup sec. Ma bite s’enfonçait profond, brutal, pendant que je tirais la laisse pour la faire se cambrer, son dos luisant sous la lumière froide. Je lui ai balancé des baffes, des fessées qui faisaient rougir son cul, et elle gémissait, soumise mais trempée, ses cris étouffés par le bâillon de sa propre respiration. Le bruit de nos peaux qui claquaient résonnait dans la chambre, et la vue sur la rivière au loin ajoutait un contraste étrange à ce chaos. Je l’ai défoncée jusqu’à ce qu’elle jouisse, son corps secoué sous moi, les menottes claquant contre le bois.

Je lui pisse dessus après le sexe

Pour finir, je l’ai détachée, mise à genoux au milieu de la chambre, le parquet usé grinçant sous son poids. « Ouvre la bouche », je lui ai ordonné, et j’ai pissé sur sa gueule, un jet chaud qui coulait sur son visage et ses seins, éclaboussant le sol. Elle a avalé un peu, docile, ses yeux mi-clos sous l’assaut. Les lumières de Fribourg scintillaient dehors à travers les vitres, et moi, je me sentais maître de tout, debout au-dessus d’elle.

Je la fais danser avec sa chatte empalée sur un objet

Avant de partir, je l’ai fait asseoir sur un gros plug fixé au sol, lui ordonnant de danser dessus. Elle ondulait, son cul s’empalant encore et encore, ses mouvements lents et tremblants éclairés par les reflets des lampadaires extérieurs. Le parquet grinçait sous chaque balancement, et elle gémissait, épuisée mais obéissante jusqu’au bout, ses mains cherchant un appui sur le sol froid.

Avis sur ce plan cul

Avec Lysiane, j’ai trouvé un terrain de jeu qui m’a parlé. Ce n’était pas juste une baise, c’était une danse de pouvoir, un échange où chaque cri, chaque marque sur sa peau, racontait quelque chose. Fribourg, avec ses ruelles qui respirent le passé et ses ponts qui enjambent le temps, m’a donné un cadre pour tester mes limites, et les siennes. Elle a suivi, elle a plié, et ça m’a forcé à réfléchir à ce que je cherche vraiment dans ces trips, pas juste du cul, mais une connexion brute, presque spirituelle. Je me demande si elle a vu la même chose dans mes yeux, ou si elle s’est juste perdue dans l’instant. Ça me travaille, et ça me pousse à vouloir la revoir, différemment peut-être.