Villes de l’Hérault en région Occitanie

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Le plan cul d’Enzo avec Marianne à Frontignan

Je m’appelle Enzo, 47 ans, un mec dominant, expérimenté, qui sait faire vibrer une femme même dans la merde. Marianne m’a contacté sur annonce-salope.fr depuis son lit d’hosto à Frontignan, où elle est bloquée après un accident. Moi, à Paris, j’ai pris un train direct pour elle, intrigué par cette nana qui voulait baiser malgré son état. Ce qu’on a fait dans cette chambre, avec le risque permanent de se faire griller, c’était un mélange de tension et de vice qui m’a scotché.

Je la rejoins dans sa chambre d’hôpital

J’ai poussé la porte de l’Hôpital de Frontignan, un bâtiment blanc entouré par les vignes de muscat qui s’étendent jusqu’à l’horizon. Sa chambre, la 312, était au bout d’un couloir avec vue sur le Bassin de Thau, ses eaux lisses reflétant le soleil couchant dans une lumière rougeoyante. Elle était là, alitée, perf au bras, chemise d’hôpital entrouverte sur une lingerie noire, string et soutif en dentelle qu’elle avait dû enfiler en douce. « Comment tu tiens, ma belle ? » je lui ai murmuré en m’asseyant à côté, « Pourquoi tu peux pas attendre de sortir pour baiser ? » Elle a souri, pâlotte mais vive, disant qu’elle avait besoin de ça pour se sentir encore là, son regard accrochant le mien. Ça m’a remué, et ma queue a réagi illico.

Je la caresse sous les draps

J’ai glissé ma main sous les draps rêches, frôlant ses cuisses chaudes, son pouls battant sous mes doigts. « T’es une dure, toi », je lui ai dit pour la booster, écartant son string pour caresser son clito avec mon index, déjà trempé sous la pulpe de mon doigt. Elle a retenu un soupir, jetant un œil vers la porte vitrée où une ombre pouvait surgir. J’ai enfoncé deux doigts dans sa chatte, les bougeant doucement pour pas faire tanguer le lit, pendant que le moniteur cardiaque clignotait en silence. Le danger me faisait bander, et elle mouillait comme jamais, ses hanches frémissant à peine.

Je lui fais un cunni en douce

Des pas ont résonné dans le couloir, une infirmière sans doute. J’ai attendu que le bruit s’éloigne, puis j’ai relevé sa chemise et plongé sous les draps, le tissu frottant contre mon visage. Ma langue a trouvé sa chatte, sucrée et chaude, et j’ai léché son clito, d’abord lent, puis plus rapide, mes mains calant ses cuisses. Elle a enfoncé ses doigts dans le matelas, étouffant un cri dans son oreiller, le lit grinçant à peine sous mes mouvements. Je l’ai bouffée un quart d’heure, jusqu’à ce qu’elle jouisse en silence, ses jambes tremblantes contre mes épaules. Un bruit de chariot m’a fait remonter vite, le souffle coupé, les rideaux frémissant légèrement.

Je la baise en missionnaire discret

« T’en veux encore, hein ? » je lui ai chuchoté, un sourire en coin. Elle a hoché la tête, les yeux pétillants malgré la fatigue. J’ai baissé mon froc, ma queue raide à bloc, et je me suis glissé sur elle, missionnaire discret, le lit à peine remuant. Je l’ai pénétrée dans sa chatte chaude, profond mais contrôlé, ses seins pointant sous la chemise fine, sa lèvre mordue pour rester muette. Une voix au loin m’a fait ralentir une seconde, mais j’ai repris, le risque me chauffant à blanc, mes mains serrant ses hanches sous les draps.

Je la retourne pour une levrette douce

J’ai coupé le son du moniteur, trop risqué, et je l’ai aidée à se retourner, cul légèrement relevé sous les draps, ses mouvements limités par la perf. J’ai calé ses hanches avec mes mains, glissant ma queue dans sa chatte puis son cul, doucement pour pas la brusquer, le frottement des draps étouffant les sons. Son souffle rauque vibrait dans l’air, et une ombre a glissé sous la porte, une ronde peut-être, mais j’ai continué, trop dedans, mes doigts enfoncés dans sa chair tendre pour la tenir.

Je jouis sur elle en silence

Je l’ai remise sur le dos, jambes écartées, le matelas creusant sous son poids. « T’es incroyable », je lui ai glissé pour la faire tenir, ma voix basse contre son oreille. Je me suis branlé au-dessus d’elle, rapide, et j’ai lâché ma semence sur son ventre, quelques gouttes éclaboussant ses seins sous la chemise relevée. Elle a soupiré, vidée, pendant que je rabaissais le tissu et planquais les traces sous les draps, le chant des grillons montant des vignes à travers la vitre entrouverte. Le silence est revenu, lourd et chargé.

Avis sur ce plan cul

Marianne m’a fait cogiter sur ce qui nous tient debout quand tout s’écroule. Dans cette chambre d’hosto, avec Frontignan et ses vignes qui s’étendent comme une promesse de vie, j’ai vu une femme qui refusait de lâcher prise, même à plat. C’était pas une baise spectaculaire, mais ce mélange de danger et de fragilité m’a accroché autrement. Je me surprends à penser à son rire, à ce qu’elle deviendra dehors, et à ce que ça dit de moi de kiffer un moment aussi tordu. Peut-être que je la rappellerai, pas juste pour baiser, mais pour voir si elle porte toujours cette étincelle qui m’a marqué.

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