Plan cul Gagny

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Le plan cul de Fabien avec Alice à Gagny

Je m’appelle Fabien, 42 ans, plombier de métier, des grosses mains calleuses et une queue qui sait y faire. Alice, je l’ai chopée sur annonce-salope.fr, une meuf qui kiffait les scénarios tordus. À Gagny, dans sa petite maison près du Parc Courbet, j’ai débarqué avec mon fantasme de plombier vicelard, et ce qu’on a fait, c’était crade, intense, un truc qui m’a fait bander rien que d’y repenser.

Je me pointe chez elle en plombier

J’ai sonné à sa porte, sacoche d’outils en main, prétextant une fuite chez le voisin, un classique de prolo qui fait mouiller les bourgeoises. Gagny, c’est calme, avec ses pavillons bordés d’arbres et le murmure de la Marne qui glisse pas loin. Elle a ouvert, confiante, en jupe courte et haut léger, ses cheveux châtains tombant sur ses épaules. « Ça vient de la salle de bain, faut vérifier les tuyaux, m’dame », je lui ai dit, jouant le jeu, un sourire en coin. On a filé là-dedans, carrelage blanc et miroir embué, et je lui ai lancé, « Baissez-vous, faut checker sous l’évier, là où ça fuit ! » Elle s’est penchée, son cul pointant sous la jupe, et là, je l’ai attrapée, plaquée au sol, ses yeux écarquillés mais déjà brillants de vice, « Surprise, c’est pas l’eau qui va couler aujourd’hui ! »

Je lui fais un cunni et la force à me sucer

J’ai soulevé sa jupe, arraché sa culotte, un truc en dentelle noire, et je l’ai utilisée pour lui attacher les mains dans le dos, bien serré comme un raccord de cuivre. À genoux, j’ai plongé ma langue dans sa chatte, un cunni long, humide, léchant son clito jusqu’à ce qu’elle mouille comme une fontaine, le carrelage froid claquant sous ses cuisses. Elle gémissait, « Oh putain, t’es un malade ! », et l’odeur de sa mouille a envahi la pièce, un parfum de salope qui m’a fait grogner. Puis je me suis relevé, sorti ma queue, et je l’ai forcée à me sucer, enfonçant ma bite dans sa bouche, « Allez, bosse un peu, c’est pas gratuit mes dépannages ! » Elle bavait, ses lèvres serrées autour de moi, le bruit de sa gorge résonnant contre les murs nus.

Je la baise sur le lit

Je l’ai traînée jusqu’à sa chambre, un lit défait avec vue sur les toits de Gagny et le clocher de l’Église Saint-Germain qui pointait dans le ciel gris. Je l’ai jetée dessus, pénétrée d’un coup dans sa chatte trempée, la baisant fort, mes hanches claquant contre ses fesses, le sommier grinçant comme un chantier mal fini. Elle criait, « Oui, défonce-moi, plombier de mes deux ! », et je sentais ses parois se resserrer autour de ma queue. J’ai joui une première fois, un orgasme rapide, puis je l’ai remise à genoux, « Suce encore, salope, j’ai pas fini de vidanger ! », ma bite encore dure glissant dans sa gorge, ses cheveux collant à son front.

Je la fiste vaginalement avec mes grosses mains

Après ça, je l’ai allongée, jambes écartées, les draps froissés sous son cul. J’ai craché sur ma main droite, une grosse paluche de plombier, et j’ai commencé à la doigter, d’abord deux doigts, puis trois, élargissant sa chatte comme un tuyau bouché. « T’es prête, salope, pour un vrai chantier ? » je lui ai grogné, et j’ai enfoncé toute ma main, pouce replié, tournant doucement pour passer le poignet, mes phalanges râpeuses à l’intérieur. Elle a hurlé, « Putain, t’es énorme, tu me défonces le châssis ! », un mélange de choc et de plaisir dans la voix. Je sentais ses parois chaudes, humides, s’étirer autour de moi, et j’ai accéléré, pompant ma main en rythme, « Tiens, prends ça, c’est du dépannage cinq étoiles ! » Elle tremblait, criait, « Continue, je vais jouir, t’es un taré ! », et elle a explosé, sa chatte pulsant contre ma main, le lit vibrant sous ses spasmes.

Je lui pisse dans la bouche

Je l’ai relevée, encore secouée, et mise à genoux sur le parquet usé. « Ouvre grand, on va rincer le matos », je lui ai ordonné, et j’ai pissé dans sa bouche, petit jet par petit jet, la forçant à avaler, le liquide débordant sur son menton. Elle gémissait, « C’est dégueu mais j’aime ça, t’es un porc ! », pendant que je tenais ses cheveux, la regardant boire, soumise, les yeux mi-clos. Le bruit de son glouglou et le craquement du plancher m’ont refait bander direct.

Je la sodomise après un anulingus

J’ai léché son cul ensuite, ma langue forçant son trou serré, le préparant bien humide, mes mains écartant ses fesses blanches. Puis je l’ai remise à quatre pattes et je l’ai enculée, d’abord doux, puis brutal, ma queue défonçant son cul pendant qu’elle criait dans l’oreiller, « Vas-y, casse-moi tout ! » Le lit tapait contre le mur, les voisins devaient capter le boucan, et je sentais son corps céder sous moi, un mélange de douleur et de kiff total.

Je jouis encore sur elle

Pour finir, je l’ai baisée encore, un coup devant, un coup derrière, et j’ai joui sur son corps, giclant sur ses seins, son ventre, sa gueule, ma semence dégoulinant sur sa peau luisante. Elle était là, couverte de sperme et de pisse, épuisée, pendant que je me rhabillais et filais, laissant le bordel derrière moi, le chant des oiseaux du parc montant par la fenêtre entrouverte, presque trop sage pour ce qu’on venait de faire.

Avis sur ce plan cul

Alice m’a donné un bout de chaos que je cherchais sans le savoir. Gagny, avec ses rues tranquilles et ses arbres qui cachent des vies sages, a rendu ce délire encore plus tordu, comme une toile propre qu’on salit pour le plaisir. Elle m’a laissé aller loin, et ça m’a fait réfléchir à ce que je trimballe dans mes envies, pas juste du cul, mais une sorte de rage, un besoin de marquer. Ses mots, ses cris, ils tournent encore dans ma tête, et je me demande si c’était juste un jeu pour elle ou si elle y a trouvé autre chose. Ça me laisse un goût bizarre, pas juste de victoire, mais de questionnement sur ce qu’on est prêts à lâcher dans ces moments-là.