Plan cul Gap

Gap est la préfecture des Hautes-Alpes situé dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. Dans le département  la seule autre agglomération notable est Briançon. Tout les profils du département sont concentrés sur la préfecture Gap.

Le plan cul de Valentin avec Lucie à Gap

Je m’appelle Valentin, 60 ans, un vieux pervers qui kiffe les femmes adultes déguisées en écolières, ces petites apprenties salopes qui parlent comme des collégiennes. Lucie, je l’ai dénichée sur annonce-salope.fr, une jeune qui rentrait pile dans mon délire tordu. À Gap, on s’est retrouvés, et ce qu’on a fait, c’était un festival de vice qui m’a fait bander comme un ado en rut.

Je la croise dans la forêt près de Gap

J’avais choisi le Domaine de Charance, une forêt discrète au-dessus de Gap, avec ses pins qui s’élèvent vers les cimes et ses sentiers déserts où personne vient te faire chier. Elle m’attendait là, en tenue d’écolière, jupe plissée courte, chemisier blanc noué, chaussettes hautes et couettes qui dansaient dans le vent frais. En la voyant, mon sucre d’orge a frétillé dans mon froc, prêt à jouer les profs vicelards. « T’es perdue, petite conne, ou t’attends un vieux cochon comme moi ? » je lui ai lancé, un rictus de pervers en coin. Elle a gloussé, d’une voix sucrée, « Peut-être, m’sieur, faut m’aider à retrouver mon chemin ! », et ça m’a mis direct dans la peau du daddy dépravé, ma queue déjà à moitié tendue.

Je lui fais un cunni prolongé

On s’est planqués dans une clairière, avec les Alpes qui se dressent au loin comme des juges muets. Je l’ai collée contre un arbre, relevé sa jupe, et viré sa culotte rose en dentelle, un vrai bonbon que j’ai fourré dans ma poche pour plus tard. « Écarte les jambes, petite pute, montre ton cahier au prof ! » je lui ai grogné, et j’ai plongé ma langue dans sa chatte, un cunni long, baveux, léchant son clito comme une sucette à la fraise. Elle gémissait, « Oh, m’sieur, c’est trop bon, j’vais avoir un 20 ! », ses cuisses tremblant contre l’écorce rugueuse. L’odeur de sa mouille se mêlait au parfum des pins, et je l’ai bouffée jusqu’à ce qu’elle serre ma tronche, ses couettes balayant mes épaules.

Je lui donne une sucette à faire

Je me suis redressé, sorti mon sucre d’orge, encore raide malgré mes 60 piges, une vieille branche qui tient toujours le coup. « Fais-moi une sucette, ma petite salope, et lèche bien le bâton ! » je lui ai ordonné, et elle s’est mise à genoux sur la mousse, sa bouche autour de ma bite comme une gamine qui savoure sa glace préférée. Elle y allait profond, baveux, se trémoussant contre moi, ses chaussettes blanches salies par la terre. Je tenais ses couettes, jouant le prof pervers, « T’aimes mon sucre d’orge, hein ? Travaille pour ta note, feignasse ! » Elle a hoché la tête, les yeux brillants, marmonnant un « Oui, m’sieur » entre deux gorgées, et le vent frais des montagnes frôlait mes couilles pendant qu’elle me suçait.

Je lui fais un anulingus en extérieur

Je l’ai relevée, tournée contre l’arbre, et écarté ses fesses, son petit cul blanc luisant sous un rayon de soleil. Ma langue a glissé sur son trou, un anulingus bien vicieux, le léchant comme une friandise pendant qu’elle couinait, « M’sieur, vous êtes trop cochon, c’est interdit ça ! » La forêt craquait autour de nous, les branches pliant sous une bourrasque, et je l’ai rendu bien humide, grognant, « Rien n’est interdit avec un prof comme moi, petite pute ! » Mon sucre d’orge palpitait, mais à mon âge, je fais durer les jeux de bouche avant de passer à la péné, histoire de pas cracher trop vite.

Je la pénètre doucement puis fort

Je l’ai assise sur une souche, jambes écartées, la jupe retroussée jusqu’au nombril, et je l’ai pénétrée dans sa chatte, d’abord doux pour sentir sa chaleur autour de ma queue, puis plus fort quand elle a commencé à gigoter comme une gamine excitée. « T’es une bonne petite pute, hein ? » je lui ai lâché, et elle a répondu, « Oui, m’sieur, baisez-moi fort, j’ai été sage ! » J’ai enchaîné avec son cul, une sodo lente puis intense, mes mains sur ses hanches, le bois râpant mes genoux, mes vieux os protestant un peu. Elle criait doucement, « Oh, m’sieur, vous m’apprenez trop bien ! », et le vent portait ses gémissements vers les sommets, comme une leçon en plein air.

Je lui pisse dans la bouche

Après l’avoir bien baisée, je l’ai remise à genoux sur la terre molle. « Ouvre grand, ma petite conne, le prof te donne un goûter spécial ! » je lui ai dit, et j’ai pissé dans sa bouche, des petits jets qu’elle avalait en grimaçant, « C’est fort, m’sieur, mais j’aime, je suis une vilaine ! » Le liquide débordait sur son menton, éclaboussant sa jupe plissée, et je kiffais la voir boire, soumise comme une écolière qui prend sa punition, ses couettes trempées collant à ses joues.

Je jouis sur elle

Pour finir, je me suis branlé devant elle, giclant une éjac encore épaisse sur ses seins, son visage, sa jupe d’écolière, ma semence dégoulinant comme une récompense sur sa peau rose. Elle a ri, essoufflée, disant, « Vous êtes un sacré cochon, m’sieur, j’ai mérité un bon point ! » Le soleil perçait à travers les arbres, éclairant son corps couvert de moi, et je me sentais comme un vieux roi pervers qui avait eu sa dose, les jambes un peu raides mais le sourire aux lèvres.

Avis sur ce plan cul

Lucie m’a offert un bout de théâtre que je rejouerais mille fois dans ma tête. Gap, avec ses forêts qui te planquent et ses montagnes qui te regardent de haut, a rendu ce jeu encore plus tordu, un décor parfait pour mes vices. Elle a joué le rôle à fond, et ça m’a fait me demander si je cherche juste à revivre un truc perdu ou à remplir un vide que j’ai jamais nommé. Son abandon m’a plu, mais c’est sa façon de me suivre, presque innocente, qui m’a laissé pensif. Je me surprends à vouloir la revoir, pas pour la baiser encore, mais pour parler, voir si elle aussi, elle cherche quelque chose derrière tout ça.