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Le plan cul d’Edgar avec Gabrielle à Garches
Je m’appelle Edgar, 38 ans, un gros maçon portugais, costaud mais pas beau gosse, le genre que les femmes snobent sauf quand je dis que je suis prêt à me faire marcher dessus. Gabrielle, je l’ai trouvée sur annonce-salope.fr, une domina qui aimait les soumis dans mon style. À Garches, elle m’a pris en main, et ce qu’on a vécu, c’était un mélange de honte et de kif qui m’a complètement retourné.
Je débarque chez elle pour me soumettre
Elle m’a ouvert la porte de son appart près du Parc de la Vallée-aux-Loups, un coin où les villas se planquent derrière des haies bien taillées, genre décor de bourges qui te juge en silence. J’avais une sacoche avec une culotte de marque et un gode ceinture, des offrandes, comme elle m’avait demandé, mes paluches moites autour des poignées. Elle portait une robe noire moulante, talons hauts, et m’a lancé d’entrée, « T’es moche, mais t’as l’air d’un bon chien, entre, gros tas ! » J’ai obéi sans moufter, ma queue déjà raide sous mon bleu de travail, excité par son regard qui me clouait comme un clou dans du béton.
Je lui lèche les pieds et les chaussures
Dans son salon, elle m’a fait tomber à genoux, le parquet grinçant sous mon poids de bœuf. « Lèche mes pieds, gros porc, fais ça bien ! » elle a ordonné, tendant ses orteils vernis de rouge, brillants comme des carreaux neufs. J’ai embrassé sa peau douce, ma langue glissant dessus, puis elle m’a poussé vers ses talons, « Nettoie mes pompes, sale con, t’as vu leur prix ? » J’ai léché le cuir, râpeux sous ma langue, le goût amer me râpant la gueule, pendant qu’elle me crachait dessus, des mollards qui coulaient sur mon front, dégoulinant comme du plâtre mal mélangé. J’étais à fond, l’humiliation me faisant bander comme un taureau prêt à charger.
Je me travestis et prends des gifles
Elle m’a passé une robe rose à froufrous et un rouge à lèvres, un truc de gonzesse qui jurait avec mes bras de chantier. « Habille-toi, petite pute, montre ton côté princesse ! » elle a grogné, et j’ai enfilé le machin, mes grosses mains pataudes galérant sur les boutons, un vrai sketch. Elle m’a tartiné la gueule de rouge, riant, « T’es ridicule, gros tas, on dirait un cochon en tutu ! » Puis elle m’a giflé, deux claques sèches qui ont résonné dans la pièce, ma joue brûlant sous ses doigts, « Sale porc portugais, t’es bon qu’à ramper, avoue-le ! » Je me sentais con, mais j’adorais ça, ma bite pulsant sous la robe comme un marteau-piqueur en panne.
Je sers ses copines en domestique
Elle a fait venir deux copines, et j’ai joué les larbins, un vrai clébard en mission. « Sers-nous, minable, bouge ton cul de maçon ! » elle a lancé, et j’ai apporté le vin, les plats, pliant sous leurs ordres pendant qu’elles se marraient, leurs rires ricochant sur les murs blancs. « Verse mieux, gros con, t’as deux mains gauches ou quoi ? » l’une a dit, et j’ai obéi, mes paluches tremblant un peu, le vin éclaboussant presque la table. Elles m’ont mis un collier et une laisse, me promenant à quatre pattes, mes genoux râpant le sol, et m’ont forcé à les suivre, rampant pendant qu’elles m’insultaient, « T’es qu’un chien, Edgar, aboie si t’es d’accord ! » J’ai pas aboyé, mais j’ai kiffé, la honte me chauffant à blanc.
Je suce son gode ceinture
Dans la chambre, elle a enfilé un gode ceinture noir, un truc qui semblait me narguer. « Suce, petite chienne, fais-moi plaisir ! » elle a grogné, et j’ai pris le machin dans ma bouche, le pompant profond pendant qu’elle me tenait la tête, mes cheveux gras glissant sous ses doigts. Je bavais partout, mes lèvres barbouillées, et elle m’insultait, « T’es qu’une salope, gros tas, t’as vu ta gueule de pute ? » Ma queue pulsait sous la robe, et je kiffais être son jouet, le plastique dur cognant contre mes dents.
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Je prends son pipi en bouche et jouis
Elle m’a traîné dans la salle de bain, m’a mis à genoux sous la douche, le carrelage froid mordant mes rotules. « Ouvre ta gueule, sac à merde » elle a dit, et elle m’a pissé dessus, un jet chaud qui coulait dans ma bouche, sur mon torse, éclaboussant ma robe rose. « Avale, dégueulasse, c’est tout ce que tu mérites ! » elle a ajouté, et j’ai bu, grimaçant mais excité, le liquide tiède glissant dans ma gorge. Ensuite, elle m’a fait me branler devant elle, « Vas-y, vide-toi, gros porc ! », et j’ai joui sur le carrelage, une éjac épaisse qui giclait pendant qu’elle me fixait, froide, ses talons claquant sur le sol mouillé.
Je la retrouve au centre-ville pour plus
Quelques jours après, on s’est revus à la Place de Verdun, un coin vivant avec ses petits commerces et ses passants qui te regardent en coin. Elle m’a fait lécher ses pieds derrière un muret, à l’abri des curieux, mes lèvres sur ses talons pendant qu’elle murmurait, « T’es pathétique, Edgar, un vrai clébard de chantier ! » Puis elle m’a ordonné de me foutre à poil, j’ai esquivé en la suppliant, restant habillé de justesse. Alors elle m’a transformé en table, à quatre pattes, posant son sac sur mon dos pendant qu’elle checkait son téléphone, « Tiens bien, gros tas, ou je te fous un coup de latte ! » Elle m’a fourré sa culotte dans la bouche, un goût de tissu et d’urine mélangée a de la mouille, et m’a envoyé faire ses courses au Carrefour Market, « Ramène tout vite, sac à foutre en gardant la culotte dans la bouche! », toujours sous son emprise, mes jambes lourdes traînant le caddie.
Je deviens son homme à tout faire
De retour chez elle, elle m’a fait faire le ménage, balayer, laver, en me gueulant, « Bouge-toi, gros tas, t’es lent comme un escargot crevé ! » Ensuite, elle m’a assis pour la préparer avant un rdv, manucure, pédicure, mes grosses mains maladroites sur ses ongles, tremblant comme un gosse qui fait ses lacets. Elle m’a baisée avec son gode après, me forçant à la lécher aussi, ma langue râpant sa chatte pendant qu’elle grognait, « T’es bon à rien sauf à ça, clébard ! » Puis elle m’a fait baiser ses copines quand elles sont revenues, me traitant de « chien obéissant » pendant que je les servais, à bout mais raide quand même.
Avis sur ce plan cul
Gabrielle m’a emmené dans un truc qui me dépasse encore. Garches m’a servi de décor sans m’étouffer sous son calme bourgeois, ça m’a juste suivi comme un écho discret pendant que je me perdais sous ses ordres. Elle m’a donné un rôle, et ça m’a fait réfléchir à ce que je veux vraiment : est-ce que j’aime juste être son pantin, ou est-ce que je cherche un truc plus profond, une façon de me sentir utile ? Ce qu’on a fait, c’était pas seulement du sexe, c’était une leçon sur moi-même, et je me demande si elle a vu ça aussi ou si je suis juste un jouet jetable pour elle. Ça me pousse à vouloir la revoir, pas pour répéter, mais pour parler, comprendre ce qu’elle tire de moi, et peut-être ce que je pourrais construire avec ça.