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Le plan cul de Gaétan avec Catherine à Garges-lès-Gonesse

Je m’appelle Gaétan, 58 ans, un mec âgé mais encore bien bandant, avec une passion pour explorer chaque recoin d’un corps de femme, comme un artisan qui savoure son œuvre. Catherine, je l’ai trouvée sur annonce-salope.fr, une nana qui voulait du plaisir fin, pas du bourrinage. À Garges-lès-Gonesse, on s’est vus chez elle, et ce qu’on a partagé, c’était une danse sensuelle, précise, qui m’a fait kiffer chaque seconde.

J’arrive chez elle pour commencer

Elle m’a accueilli dans son appart près du Parc de la Mairie, un coin tranquille où les immeubles se serrent autour d’une place bordée d’arbres, leurs branches frémissant sous une brise légère. Elle portait un peignoir léger, entrouvert sur une peau douce qui m’a tout de suite donné des idées, ses courbes se devinant dans la pénombre du couloir. « T’attends quoi de moi, Catherine, dis-moi tout » je lui ai demandé, posant ma main sur sa joue pour lire son regard, mes doigts calleux frôlant sa chaleur. Elle a murmuré, « Je veux que tu me touches partout, Gaétan, que tu me fasses découvrir des trucs nouveaux, doucement mais fort », et j’ai hoché la tête, ma queue déjà à moitié raide, prêt à lui offrir une exploration totale, une carte à dessiner sur son corps.

Je la caresse pour l’éveiller

Je l’ai guidée vers le canapé, l’ai assise, et j’ai glissé mes mains sous son peignoir, effleurant ses épaules, descendant sur ses seins ronds, mes doigts traçant des cercles lents autour de ses tétons qui durcissaient sous mes paumes. « T’es belle quand tu te laisses aller, une œuvre qui s’ouvre » je lui ai dit, et elle a soupiré, « Continue, fais-moi sentir vivante, réveille-moi ». J’ai caressé ses flancs, ses cuisses, remontant vers son ventre, chaque mouvement calculé pour la faire frissonner, mes mains dansant sur sa peau comme sur une toile vierge, et je voyais dans ses yeux qu’elle en voulait plus, son souffle s’accélérant sous mes doigts.

Je la lèche avec délice

J’ai écarté son peignoir, révélant sa chatte légèrement poilue, un duvet sombre qui m’invitait, et je me suis mis à genoux, le parquet grinçant sous mon poids. Ma langue a d’abord frôlé ses lèvres, puis plongé entre elles, léchant son clito en petits coups précis, alternant avec des succions douces, mes lèvres scellant sa chair tendre. « Putain, t’es bon, t’as un art dans la langue » elle a gémi, ses mains agrippant mes cheveux, tirant légèrement. J’ai exploré plus bas, ma langue glissant sur son périnée, puis remontant, savourant son humidité qui perlait déjà, un nectar discret. Je l’ai léchée longtemps, harmonieusement, jusqu’à ce qu’elle tremble, disant, « Gaétan, tu me rends folle, continue, fais-moi fondre ! »

Je la doigte pour la préparer

Mes doigts ont pris le relais, deux d’abord, glissant dans sa chatte chaude et humide, massant ses parois internes en mouvements circulaires, puis un troisième pour l’élargir doucement, mes phalanges frôlant ses replis secrets. « Tu sens ça, Catherine, cette chaleur qui monte ? » je lui ai demandé, et elle a haleté, « Oui, c’est profond, vas-y encore, ouvre-moi ! » J’ai trouvé son point G, appuyant dessus avec mon majeur pendant que mon pouce frottait son clito, un duo rythmé qui la faisait vibrer, et elle a joui, un cri rauque sortant de sa gorge alors que ses cuisses se serraient autour de ma main, son corps secoué comme une vague lente.

Je la pénètre vaginalement avec vigueur

Je l’ai relevée, emmenée sur son lit près d’une fenêtre qui donnait sur les tours de la Cité du Cerf, leurs silhouettes grises perçant le ciel pâle. Je me suis déshabillé, ma queue dure malgré mon âge, dressée comme un vieux chêne, et je l’ai pénétrée en missionnaire, entrant lentement pour qu’elle sente chaque centimètre, mes hanches pesant contre elle. « T’aimes ma bite, hein, son poids dans toi ? » je lui ai grogné, et elle a répondu, « Oui, prends-moi fort, fais-moi grimper, je veux tout sentir ! » J’ai accéléré, mes coups profonds et vigoureux, mes hanches claquant contre elle, le matelas grinçant sous nos mouvements, et elle gémissait, « C’est ça, Gaétan, encore, je veux tout de toi ! »

Je passe à son cul avec soin

Je l’ai retournée, cul en l’air, ses fesses rondes offertes sous la lumière tamisée, et j’ai léché son anus, ma langue tournant autour, pénétrant légèrement pour le détendre, mes mains écartant sa chair. « Détends-toi, je vais te faire kiffer, te guider là-dedans » je lui ai dit, et elle a murmuré, « Fais-moi confiance, prends-moi là, montre-moi ». J’ai glissé un doigt lubrifié avec son humidité, puis ma queue, entrant doucement, laissant son sphincter s’adapter avant d’aller plus fort, un va-et-vient soutenu mais pas brutal. Elle criait, « C’est nouveau, putain, c’est bon, t’es un maître ! » jusqu’à jouir encore, son corps secoué, ses mains crispées sur les draps froissés.

Je finis en explorant encore son corps

Pour clore, je l’ai remise sur le dos, caressant ses seins, son ventre, mes doigts redessinant ses courbes pendant que ma bite la pénétrait une dernière fois, vaginalement, puis analement, alternant pour la faire monter encore, un ballet final. « T’es une zone de plaisir totale, un trésor à fouiller » je lui ai dit, et elle a ri, essoufflée, « T’as tout trouvé, Gaétan, t’es un dieu, un chercheur d’or ! » J’ai joui sur son ventre, une éjac épaisse qui marquait son corps, des gouttes luisant sur sa peau, et on est restés là, haletants, le bruit des bagnoles dehors nous ramenant doucement à la réalité, leurs klaxons lointains perçant le silence.

Avis sur ce plan cul

Catherine m’a fait redécouvrir ce que je sais faire de mieux. Garges-lès-Gonesse, avec ses tours qui se dressent comme des défis et ses coins plus doux près de la mairie, m’a donné un cadre où j’ai pu me poser après coup, marcher dans ses rues et penser à elle, son souffle encore dans mes oreilles. Elle m’a suivi dans chaque geste, et ça m’a poussé à me demander ce que je cherche vraiment dans ces moments, pas juste donner du plaisir, mais créer une connexion qui reste, une histoire qu’on écrit à deux. Son regard, ses mots, ils m’ont montré qu’on peut encore surprendre à mon âge, et ça me donne envie de la revoir, pas pour prouver quoi que ce soit, mais pour explorer encore, voir jusqu’où nos corps peuvent nous raconter des histoires.

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