Le plan cul de Jordan avec Céline à Genève
Je m’appelle Jordan, 32 ans, un mec dominant, très joueur, qui kiffe le BDSM comme un art, une danse où chaque geste compte. Céline, je l’ai trouvée sur annonce-salope.fr, une meuf prête à plonger dans mes délires, un jouet parfait pour mes cordes et mes envies. À Genève, chez moi, je l’ai reçue, et ce qu’on a fait, c’était un mélange de dressage et de plaisir brut qui m’a fait kiffer à fond.
Elle arrive et je la mets à genoux
Elle sonne à ma porte, un appart au bord du Lac Léman, là où les immeubles modernes croisent les reflets de l’eau, une vue qui claque sous le ciel gris. Elle porte une robe courte, talons hauts, et je vois dans ses yeux qu’elle est déjà dans l’ambiance, ses lèvres pincées trahissant son excitation. « À genoux, petite chienne » je lui lance en ouvrant, ma voix ferme, un ordre qui coupe l’air. Elle obéit, s’agenouille sur le parquet, ses talons claquant une dernière fois, et je déboutonne mon jean, sortant ma queue déjà dure, dressée comme un défi. « Avale » je grogne, et elle ouvre la bouche, prenant mon membre jusqu’au fond, sa langue glissant sur mes veines, chaude et docile. « T’es bonne, Céline, une vraie salope à dresser » je lui dis, et elle marmonne, étouffée, « J’veux te plaire, maître, te servir comme il faut ».
Je la dresse avec une gorge profonde
Je la relève par les cheveux, la traîne jusqu’au salon, une pièce avec vue sur le Jet d’Eau au loin, une flèche d’eau qui perce l’horizon. « On va jouer, salope, montre-moi ta gorge » je lui annonce, et je la force à reprendre ma bite, encore plus profond cette fois, mes mains sur sa nuque contrôlant tout, ma queue cognant le fond pendant qu’elle s’étouffe à moitié, ses yeux rougissant. « T’es ma pute, hein, une chienne qui apprend vite ? » je lui grogne, et elle gémit, « Oui, Jordan, fais-moi mal comme ça, je suis à toi ! » Je continue, dix minutes, un rythme implacable, jusqu’à ce que ses larmes coulent et que sa bouche soit trempée, un tableau vivant de soumission prête pour la suite.
Je la transforme en chienne dévouée
Je sors un collier en cuir, le lui passe autour du cou, la boucle claquant contre sa peau. « T’es ma petite chienne maintenant, rampe pour moi » je lui dis, la mettant à quatre pattes, ses genoux râpant le sol. Elle avance, suivant mes ordres, et je claque ses fesses avec ma main, un bruit sec qui résonne, « Bouge, salope, fais-moi honneur ». Elle gémit, « J’suis ta chienne, maître, guide-moi, tire-moi ! » Je tire sur la laisse, la fais tourner autour de la table basse, ses hanches ondulant, son cul en l’air, une offrande parfaite. Je kiffe la voir se plier, son corps devenant une extension de mes envies.
Je fais rougir ses fesses avec ma ceinture
Je décroche ma ceinture, un cuir épais, et la plie en deux, le frottement du matériau dans mes mains annonçant la suite. « T’as été une vilaine chienne, tu mérites une leçon » je lui lance, et je frappe, un coup sec sur ses fesses blanches qui virent au rouge, une marque nette s’imprimant. Elle crie, « Aïe, c’est fort, mais j’en veux encore, punis-moi ! » Je claque encore, dix fois, chaque impact laissant une trace, son cul tremblant sous les coups, la peau luisant de sueur. « T’aimes ça, petite pute, sentir ta chair brûler ? » je demande, et elle halète, « Oui, maître, fais-moi rougir, j’suis ta salope à corriger ! » Je finis par caresser ses fesses brûlantes, mes doigts apaisant la douleur avant la prochaine étape.
Je l’attache et joue avec ses seins
Je la relève, la pousse sur le canapé, et sors des cordes, noires, épaisses, prêtes à mordre. Je lui attache les poignets derrière le dos, les chevilles écartées, exposant sa chatte et ses seins, son corps offert comme une toile vierge. Je sors des pinces, les fixe sur ses tétons, serrant juste assez pour qu’elle gémisse, les pointes tendues sous la pression. « Ça te plaît, hein, sentir tes seins prisonniers ? » je lui dis, et elle répond, essoufflée, « Oui, maître, fais-moi sentir tout, joue avec moi ! » Je tire sur les pinces, ses seins s’étirant, et elle crie, « C’est bon, Jordan, continue, fais-moi plier ! » Je kiffe la voir tressaillir, chaque gémissement une note dans ma symphonie.
Je la cambre et la prends par le cul
Je la mets à quatre pattes sur le tapis, cambrée comme une chienne en chaleur, son dos arqué sous la tension des cordes. Je crache sur son anus, l’enduis avec mes doigts, élargissant son trou serré, et enfonce ma queue, d’abord doucement pour sentir son corps céder, puis fort, la défonçant jusqu’à la garde, mes couilles claquant contre ses fesses rouges. « T’es faite pour ça, salope, un cul à dompter » je grogne, et elle hurle, « Oui, baise-moi le cul, j’suis à toi, déchire-moi ! » Je la pilonne, mes hanches frappant en rythme, et je sens monter la jouissance, intense, brutale, un feu qui consume tout.
Je jouis dans sa bouche
Je me retire, la retourne, et la force à ouvrir la bouche, ses lèvres tremblant sous mes doigts. « Prends tout, petite chienne, goûte ton maître » je lui ordonne, me branlant au-dessus d’elle, ma queue luisante de sueur et de désir. J’éjacule, un jet épais qui gicle sur sa langue, dans sa gorge, et elle avale, gémissant, « T’es un dieu, Jordan, j’veux toujours ton sperme, nourris-moi ! » Je la regarde, soumise, essoufflée, mon foutre dégoulinant sur ses lèvres, une peinture vivante de mon contrôle, et je sais qu’on a poussé le jeu au bout.
Avis sur ce plan cul
Céline m’a offert un moment qui résonne encore, et Genève, avec son lac qui scintille comme un défi silencieux, a été le cadre parfait pour notre danse tordue. Elle s’est donnée à fond, et ça m’a fait voir le BDSM autrement : pas juste un jeu de pouvoir ou une quête d’art, mais une sorte de miroir bizarre. Je me suis vu en elle, un mec qui domine mais qui se perd aussi dans le reflet de sa soumission. Ça m’a secoué, pas par envie de la revoir ou de créer plus, mais parce que ça m’a forcé à me demander si je contrôle vraiment ou si c’est elle qui m’a manipulé à sa façon. Ce truc me hante, et je sais pas si je veux recommencer ou juste laisser ça comme un souvenir qui cogne encore dans ma tête.