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Le plan cul de Romuald avec Rachida à Gennevilliers

Je m’appelle Romuald, 39 ans, un mec qui a toujours fantasmé sur les grosses mamans beurettes, ces meufs bien grasses avec des bourrelets qui débordent et des formes qui te donnent envie de plonger dedans. Rachida, je l’ai chopée sur annonce-salope.fr, une mère de famille arabe étouffée par son mari et ses mômes, avec un corps de truie qui m’a fait bander rien qu’à l’imaginer. À Gennevilliers, on s’est vus chez elle, et j’ai kiffé la défoncer comme la salope qu’elle cachait sous ses airs de bonne épouse.

Je débarque chez elle pour la mater

On s’est retrouvés dans son appart près du Parc des Chanteraines, un coin où les immeubles gris se fondent dans le décor industriel, les tours carrées se dressant comme des murs de béton. Profitant d’une visite de son mari et ses gosses chez sa belle-mère, elle m’a ouvert, robe ample qui peinait à contenir ses énormes nichons flasques et son cul gigantesque, ses cheveux noirs en bataille. Nos regards se sont croisés, lourds de vice, et je me suis approché, posant mes mains sur ses hanches épaisses, mes doigts s’enfonçant dans sa chair molle. « T’es une grosse cochonne, hein, une vraie truie prête à se faire sauter ? » je lui ai murmuré, et elle a ri, un peu gênée, « Vas-y, fais-moi oublier mon connard de mec, défoule-toi sur moi ». On a commencé à se caresser, mes paluches pétrissant son gras, et je l’ai embrassée, sa bouche charnue avalant la mienne, sa langue lourde de désir.

Je l’effeuille pour voir sa graisse

J’ai tiré sur sa robe, la laissant tomber pour dévoiler son corps, un tas de chair molle et poilue qui m’a fait saliver, mes yeux brillant devant tant de viande. Ses seins, deux mamelles pendantes avec des aréoles larges comme des soucoupes, débordaient sur son ventre plein de plis, une cascade de graisse tremblante. Son cul, une montagne de cellulite, gigotait à chaque pas, et sa chatte, une grosse fente poilue cachée sous un bourrelet, puait le désir refoulé, un appel brut à la baise. « T’es une truie maghrébine bien grasse, parfaite pour moi, un festin de salope » je lui ai lâché, et elle a gémi, « Fais ce que tu veux de moi, salaud, je suis à toi aujourd’hui ».

Je lui fais un cunni dans ses plis

Je l’ai allongée sur le canapé, écartant ses cuisses épaisses pour plonger ma langue dans sa grosse chatte, mes mains poussant ses bourrelets pour dégager le passage, la graisse chaude roulant sous mes doigts. J’ai léché ses lèvres épaisses, sucé son clito noyé dans la viande, ma langue fouillant son trou poilu. « T’aimes ça, salope, ma bouche dans ton porc ? » je lui ai grogné, et elle a haleté, « Oui, bouffe-moi, t’es le premier à me faire ça, lèche-moi fort ! » J’ai parcouru son corps de baisers, mordant ses mamelles flasques, caressant ses poils drus sous les bras, et elle mouillait comme une fontaine, sa chair tremblant sous ma langue, le canapé grinçant sous son poids.

Elle me suce et on fait un 69

Je me suis redressé, sorti ma queue bien dure, dressée comme un piquet, et je l’ai mise à genoux, ses bourrelets plissant sur le sol. « Suce-moi, grosse pute, gave-toi de ma bite » je lui ai ordonné, et elle a englouti mon chibre, sa bouche baveuse avalant tout, ses joues gonflées gigotant pendant qu’elle pompait, ses yeux mi-clos de plaisir. On s’est lancés dans un 69, moi dessous, léchant encore sa chatte poilue pendant qu’elle me suçait, ses seins écrasés sur mon ventre, son gras m’étouffant presque. « T’es une chienne beurette née pour ça, une truie à bite » je lui ai dit, et elle a marmonné, la bouche pleine, « J’veux ta bite partout, fais-moi jouir, remplis-moi ! »

Je la baise en missionnaire puis hard

Je l’ai remise sur le dos, missionnaire pour commencer, ma queue plongeant dans sa chatte baveuse, mes mains agrippant ses cuisses grasses, mes doigts s’enfonçant dans sa peau molle. « T’es une grosse vache, Rachida, une salope à défoncer » je lui ai grogné, et elle a crié, « Baise-moi doucement, puis fort, je suis ta salope, fais-moi hurler ! » J’ai accéléré, mes coups devenant brutaux, ses bourrelets dansant sous moi, ses mamelles claquant à chaque thrust, un bruit de viande qui cogne. On a enchaîné, elle à quatre pattes, et je l’ai défoncée, ma bite explorant sa chatte profonde, son gras tremblant sous mes claques, le sol vibrant sous son poids.

Je lui défonce le cul

J’ai craché sur son gros cul, écartant ses fesses pleines de cellulite pour viser son trou poilu, un anneau sombre perdu dans la graisse. « Prépare-toi, truie, ton cul va morfler » je lui ai dit, enfonçant ma queue doucement d’abord, puis fort, la sodomisant jusqu’à ce que son cul engloutisse tout, mes couilles tapant contre sa viande flasque. « T’es une salope maghrébine qui kiffe ça, hein, avoue ! » je lui ai hurlé, et elle a gémi, « Oui, déchire-moi, j’suis ta grosse pute, prends mon cul ! » Je l’ai pilonnée, mes coups profonds et sauvages, et elle jouissait, son corps secoué de spasmes, ses plis ondulant comme une vague.

Je la pisse dessus et jouis

Pour finir, je l’ai remise à terre, lui pissant dessus, un jet chaud sur ses seins flasques, son visage, sa chatte poilue, l’urine dégoulinant sur ses bourrelets. « Bois, salope, goûte ton maître » je lui ai ordonné, et elle a ouvert la bouche, avalant un peu en riant, « T’es un porc, j’adore, fais-moi dégueulasse ! » J’ai joui après, giclant sur son ventre plein de plis, son cul, la laissant souillée de ma pisse et de mon sperme, contente d’avoir trompé son mec, un sourire béat sur sa gueule luisante. Elle est restée là, haletante, pendant que je me rhabillais, le parquet taché sous elle.

Avis sur ce plan cul

Rachida m’a comblé un fantasme que je traîne depuis des années, et ça m’a laissé un goût bizarre dans la tête. Gennevilliers, avec ses parcs où les familles se baladent le dimanche, m’a rappelé après coup à quel point elle était coincée dans sa vie, et moi, j’ai été son échappatoire, son moment de vice. Elle m’a suivi dans mon délire, et ça m’a fait réfléchir à ce que je veux vraiment : juste baiser des grosses comme elle, ou chercher un truc plus tordu, un pouvoir sur elles, une emprise qui va plus loin ? Son corps, ses cris, c’était tout ce que j’imaginais, mais maintenant, je me demande si je la reverrai pour la pousser encore ou juste pour parler de ce qu’on a libéré ce jour-là. Ça m’a marqué, et je sais pas encore quoi en faire.

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