Plan cul Gif-sur-Yvette

Le plan cul de Vincent avec Salomé et Lila à Gif-sur-Yvette

Je m’appelle Vincent, 27 ans, un gars sympa, bon vivant, 1m70 pour 60 kilos, bien monté côté queue, et j’habite à Gif-sur-Yvette, un bled bourgeois qui cache bien son jeu. Salomé, je l’ai dénichée sur annonce-salope.fr, une bourgeoise BCBG qui m’a fait saliver avec ses messages cochons, une brune chic prête à se salir. On s’était jamais vus, juste chauffés par texto jusqu’à en crever d’envie, et ce soir, c’est notre premier rendez-vous, chez moi, prêt à la démonter. Mais quand elle a débarqué avec une surprise, j’ai failli m’étouffer avec ma propre langue.

Salomé arrive avec une inconnue

Je roule un joint dans mon appart près de la gare de Gif-sur-Yvette, un coin où les pavillons friqués se planquent derrière des haies épaisses, quand la sonnette retentit, un son qui promet du lourd. J’ouvre, pensant mater Salomé en solo, et là, putain de bordel, elle est devant moi, sublime, grande, jupe crayon moulant un cul ferme comme une pêche mûre, chemisier entrouvert sur des seins ronds qui appellent mes mains, brune aux yeux perçants qui te transpercent. Mais y’a une gamine avec elle, style garçonne, toute mince, cheveux courts en pétard, poitrine quasi inexistante mais un cul bombé qui claque sous son jean slim, un vrai cul de cartoon. « C’est quoi ce cirque ? » je lâche, la mâchoire par terre. Salomé sourit, un air narquois, « Ma cousine, Lila, elle a insisté pour venir, une vraie teigne ». Je cligne des yeux, sonné, « T’es sérieuse ? Tu ramènes une môme à notre premier plan cul ? Elle a quel âge, on dirait une gosse de 14 ans qui s’est perdue ! » Lila ricane, sort sa carte d’identité comme une flingueuse, « 19 ans, mec, née en 2006, vérifie si t’as les couilles qui tremblent ! » Je check, OK, 2006, elle est majeure, mais ses grands yeux bleus de manga et ses jambes fines comme des baguettes me foutent un bordel dans la tête.

Je roule un joint avant le plan cul

Je les fais entrer, encore à moitié dans le coaltar avec ce duo improbable. On s’installe dans le salon, vue sur les toits qui dégringolent vers la vallée de Chevreuse, un décor paisible qui va bientôt puer le vice. Je roule et passe le second joint, l’odeur d’herbe envahit la pièce, et je sers un pastis pour moi, du vin blanc pour elles, essayant de piger ce qui se trame. Salomé, détendue, glisse une main sur ma cuisse, ses ongles frôlant ma peau, « T’es mignon en vrai, Vincent, j’veux voir ce que t’as dans le froc, montre-moi ton matos ». Lila, espiègle comme une gamine qui a piqué un bonbon, se penche, ses doigts tripoteurs chatouillant mon bras, « Moi aussi, j’veux jouer, c’est comment une bite dans la bouche ? Elle est grosse comme dans les pornos ou c’est du fake ? » Je manque de recracher mon pastis, « Attends, quoi ? T’es vierge, toi, ou t’es juste une allumeuse ? » Elle hoche la tête, un éclat coquin dans les yeux, « Ouais, vierge, mais j’veux que tu me dépucèles ce soir, que tu me fasses couiner comme une truie ! » Salomé soupire, un peu maman poule, « Du calme, Lila, on vient juste de débarquer, laisse-lui le temps de respirer ». Moi, ma queue se réveille malgré le choc, et je sens que ce premier rdv va être un festival de débauche à la con.

Salomé me suce et Lila s’incruste

L’herbe me détend, et je prends les rênes, prêt à gérer ces deux folles. Je me lève, baisse mon froc, ma bite raide devant elles, longue, épaisse, déjà luisante, un bâton prêt à tout casser. « Bouffe-moi, Salomé, montre-moi ce que vaut une bourgeoise cochonne » je lui dis, la voix tendue par l’excitation de ce premier face-à-face. Elle s’agenouille, ses lèvres pulpeuses glissant sur mon gland, puis avalant tout, une gorge profonde qui me fait vaciller, ses yeux levés vers moi comme une starlette de luxe. « T’es une salope bourgeoise née pour sucer » je murmure, et elle répond, la bouche pleine, « Première fois qu’on se voit, et j’veux déjà te vider les couilles, t’as gagné ». Lila, curieuse comme une gosse devant un jouet, s’approche, tripote mes couilles avec ses petites mains agiles, « Laisse-moi goûter, ça a l’air trop bon, j’veux savoir si ça rentre ! » Salomé s’écarte, et Lila s’y met, vorace, enfonçant ma queue trop vite, s’étouffant un peu avant de trouver son rythme, une débutante qui apprend en direct. « Calme-toi, petite pute, c’est pas une sucette » je ris, et elle glousse, « C’est trop bon, j’veux tout apprendre dès ce soir, j’suis ta stagiaire du cul ! » Elles se relaient, leurs langues se croisant sur ma bite, un duo imprévu qui me fait planer plus haut que l’herbe.

Lila bouffe la chatte de Salomé malgré elle

Lila, insatiable, se tourne vers Salomé, qui a viré son chemisier et sa jupe, nue comme une déesse de magazine, ses seins ronds et fermes, son cul sculpté par des années de gym chic, un corps de bourge qui pue le fric. Lila, elle, enlève son jean, révélant ses petits tétons roses comme des framboises et sa chatte bombée, imberbe, perchée sur ses jambes fines comme des cure-dents, un contraste hilarant avec sa cousine. Elle plonge entre les cuisses de Salomé, léchant sa fente comme une gamine qui découvre une glace, « T’es trop bonne, cousine, j’veux te faire jouir avant lui ! » Salomé proteste mollement, « Arrête, Lila, c’est pas prévu pour notre premier rdv, t’es tarée ! » Mais Lila insiste, sa langue fouillant comme une petite perverse, « Ta chatte, c’est du miel, j’arrête pas ! » Salomé finit par gémir, « Putain, t’es une chienne, mais continue, fais-moi grimper, petite conne ! » Elle jouit sous les coups de langue de sa cousine, dépassée mais trempée, et moi, je mate, ma queue pulsant, mort de rire. « T’es une petite vicieuse, Lila, une vraie teigne du cul » je lui dis, et elle rigole, « Première fois ici, et j’veux tout goûter, même ta bourgeoise ! »

Je dépucèle Lila en levrette

Je tire Lila par les hanches, son cul bombé en l’air, parfait malgré son corps de brindille, un cul qui appelle la fessée. « T’es prête à perdre ton pucelage, petite salope ? » je lui demande, encore secoué par ce premier rdv qui part en sucette. Elle piaille, « Oui, Vincent, déchire-moi dès ce soir, fais-moi hurler comme une chèvre ! » Je crache sur sa chatte bombée, l’enduis, et pénètre d’un coup, brisant sa virginité, ma bite forçant son petit trou étroit. Elle crie, « Aïe, c’est énorme, mais j’adore, t’es un marteau-pilon ! » Je la baise en levrette, mes mains claquant son cul ferme, et elle gémit, « Plus fort, j’suis ta pute pour ce premier coup, fais-moi danser ! » Salomé regarde, protectrice mais excitée, « Fais gaffe à elle, Vincent, c’est sa première fois, sois pas un bourrin ». Je la rassure, « T’inquiète, elle kiffe déjà, écoute-la couiner ! » Son sang mêlé de mouille lubrifie mes coups, et elle jouit, sauvage, ses grands yeux bleus brillant comme des phares, une gamine qui découvre le grand huit.

Je prends Salomé par la chatte

Je passe à Salomé, la plaque sur le canapé, écarte ses cuisses musclées, un corps de bourge qui sent le yoga et le fric. « À toi, bourgeoise, première baise avec moi » je lui dis, plongeant ma queue dans sa chatte trempée, chaude, une fente de luxe qui m’aspire. « T’es une chienne de luxe qui veut se faire salir » je lui balance, et elle halète, « Oui, Vincent, ramone-moi, première fois et j’veux tout, fais-moi gueuler ! » Je la pilonne, mes hanches claquant contre elle, mes doigts pinçant ses seins ronds, des airbags de riche qui rebondissent. Elle hurle, « T’es un dieu, fais-moi grimper dès ce soir, salaud ! » Lila tripote les tétons de sa cousine, riant comme une gosse, « T’es trop sexy comme ça, Salomé, on dirait une star du X ! » Je la fais jouir, son corps tremblant sous moi, une bourgeoise défoncée qui craque.

Sodomie et fessées pour les deux

Je les mets à quatre pattes côte à côte, Salomé et Lila, cul en l’air sur le tapis, un duo qui pue le vice et la rigolade. Je commence par Salomé, claquant ses fesses fermes, « T’aimes te faire défoncer pour un premier rdv, hein, bourge cochonne ? » Elle gémit, « Oui, fous-moi ton dard dans le cul, fais-moi rougir ! » Je crache sur son anus, l’enduis, et la sodomise, ma bite glissant dans son trou étroit, mes coups profonds et mes fessées résonnant comme une fanfare. Puis je passe à Lila, son cul rond offert, et je l’encule, plus doux au début pour sa première fois, puis brutal, « T’es une petite pute née pour ça » je lui dis, et elle crie, « J’veux être ta salope, Vincent, déchire-moi, fais-moi un cul comme un tunnel de métro ! » Je les baise tour à tour, leurs culs rougissant sous mes claques, et elles gémissent en chœur, complices dans leur délire, un duo de salopes qui me tue.

Je jouis sur leurs gueules de salopes

Je me retire, les fais mettre à genoux devant moi, leurs visages levés comme des chiennes en attente. « Ouvrez vos bouches de putes » je leur ordonne, me branlant au-dessus d’elles, ma queue prête à exploser. J’éjacule, un flot épais qui gicle sur le visage de Salomé, dans la bouche de Lila, leurs langues se mélangeant pour laper mon foutre comme des gamines qui partagent une glace. « T’es un roi, Vincent, un roi du cul » Salomé souffle, épuisée, et Lila ajoute, riant, « J’veux ta queue pour tous mes prochains rdv, t’es mon prof du vice, un prof rien qu’à nous ! » Elles s’effondrent sur le canapé, moi aussi, crevé mais fier d’avoir régalé ces deux salopes pour une première fois aussi barge, un vrai bordel, mais un plan cul hilarant.

Avis sur ce plan cul

Salomé et Lila m’ont retourné le cerveau pour ce premier rendez-vous, et Gif-sur-Yvette, avec ses pavillons qui roupillent sous les arbres, m’a regardé faire comme un vieux voisin qui mate par la fenêtre en rigolant. Salomé m’a filé son cul de bourge comme un trophée, mais Lila, cette petite teigne perverse, a tout pété avec son énergie de gamine tarée, et j’ai adoré ce chaos. J’ai kiffé jouer les chefs d’orchestre de ce bordel, et maintenant, je me marre en pensant que je pourrais les reprendre juste pour voir jusqu’où cette petite cinglée de Lila peut m’entraîner. C’est pas une question de construire ou de me poser des grandes questions, non, c’est juste que ce plan m’a fait bander de rire et de vice, et je veux remettre ça pour le fun, pour voir si je peux tenir le rythme de ces deux folles sans péter un câble. Un premier rdv pareil, ça te marque au fer rouge, et je suis déjà prêt pour le round deux