Villes de Val-d’Oise en région Île-de-France

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Le plan cul de Maxence avec Ophélie à Goussainville

Je m’appelle Maxence, 52 ans, un mec caucasien, 1m83, 78 kilos, yeux bleus, cheveux poivre et sel qui me donnent un air de boss distingué, un vieux beau qui sait encore faire bander. Je bosse dans le business du porno et des rencontres coquines, patron d’une start-up à Goussainville où j’ai lancé une appli style Tinder, mais en mode soft pour l’instant, histoire de pas effrayer les coincées. Les meufs dessus sont encore timides, alors pour mes plans cul, je reste fidèle à annonce-salope.fr, un site vintage mais rempli de salopes qui assurent. J’aime porter des costumes, ça colle à mon taf, et ça me donne une vibe de patron qui claque des doigts pour obtenir ce qu’il veut. Ophélie, je l’ai chopée là-dessus, une meuf qui a répondu à mon annonce pour un « entretien d’embauche » dans mon bureau, un scénario bien vicieux qui m’a fait saliver. À Goussainville, on s’est retrouvés, et putain, elle m’a fait bander comme un taureau avant même de signer le contrat.

Elle arrive dans mon bureau

Mon bureau est dans une zone d’activités près de la gare de Goussainville, un coin discret avec des entrepôts et des pavillons à l’abandon qui traînent comme des fantômes, un décor parfait pour mes petits jeux. L’intérieur est cosy, moquette épaisse qui étouffe les pas, canapé en cuir dans un coin qui crie « viens t’allonger », lumière tamisée, et une grande vitre donnant sur les rails au loin, un grondement sourd en fond. Ce jour-là, pas de personnel, juste elle et moi, un tête-à-tête qui sent le cul. Elle toque, entre, une brune menue, 28 ans d’après son profil, cheveux longs qui tombent comme une cascade, yeux noisette qui pétillent de malice, jupe serrée sur des hanches fines, chemisier qui moule des seins ronds comme des pommes bien juteuses. « Salut, Maxence, je viens pour le poste » elle lance, un sourire malin qui dit « je vais te bouffer ». Je me lève, costume gris impeccable, cravate bien nouée, et lui fais signe de s’asseoir, « Salut, Ophélie, montre-moi ce que t’as dans le ventre, ou ailleurs ». Elle hoche la tête, joueuse, « Je vais te convaincre, patron, prépare-toi à signer ! »

Elle me chauffe avec ses mains

On s’installe sur le canapé, je croise les jambes, l’air détaché, elle se rapproche, son parfum léger me chatouillant les narines. « Je suis douée avec mes mains » elle murmure, posant ses doigts sur ma cuisse, remontant lentement vers ma braguette comme une araignée coquine. Je la mate, ma queue déjà tendue sous le tissu, un chapiteau qui se monte tout seul. Elle déboutonne, sort ma bite, longue, veinée, un bâton de patron prêt à taper, et commence à me branler, ses doigts fins serrant juste comme il faut, un massage de pro. « T’aimes montrer, hein, vieux cochon ? » elle dit, un clin d’œil dans la voix, et je souris, « Ouais, et toi, t’aimes exciter, fais-moi bander fort, salope, ou t’es virée ! » Elle accélère, ses ongles frôlant mes couilles comme des plumes vicieuses, et je soupire, « T’es bonne, continue, fais-moi grimper au rideau ». Elle rigole, « Je veux ce job, je vais te polir la queue jusqu’à l’embauche ! »

Elle me suce comme une pro

Elle se penche, ses lèvres effleurent mon gland, un frisson me parcourt, puis elle m’avale, une fellation lente d’abord, sa langue tournoyant comme une danseuse sur ma bite. « Suce-moi profond, fais-moi voir tes talents » je lui dis, et elle obéit, ma queue cognant le fond de sa gorge, ses yeux larmoyants levés vers moi, une starlette qui auditionne. J’adore regarder, voir sa bouche s’étirer autour de ma verge, un spectacle porno en live. « T’es une petite pute qui sait y faire, une suceuse de concours » je lâche, et elle marmonne, la bouche pleine, « J’veux te faire jouir, patron, et choper le CDI du cul ! » Je lui tiens la tête, la baise par la bouche, mes hanches poussant comme un marteau-pilon, et elle bave, ses mains toujours sur mes couilles, me rendant dingue, une salope qui mérite une médaille.

Elle me montre son corps

Je la repousse doucement, me lève, rajuste ma cravate, et lui dis, « Déshabille-toi, candidate, montre-moi ton CV en chair et en os ». Elle se redresse, retire son chemisier, révélant des seins fermes, tétons roses dressés comme des petits soldats, puis sa jupe tombe, pas de culotte, une chatte rasée qui brille comme un néon mouillé. « T’es une salope exhibitionniste, une vraie cochonne de bureau » je siffle, et elle écarte les cuisses sur le canapé, « J’aime qu’on me mate, embauche-moi et tu verras mes heures sup’ ! » Je m’approche, glisse deux doigts dans sa fente trempée, un lac chaud qui m’aspire, et elle gémit, « Touche-moi, Maxence, j’suis ton bonus de bienvenue ! » Je la doigte, sentant ses parois pulser comme un moteur, et elle se cambre, « Putain, t’es bon, fais-moi couiner, patron ! »

Je la prends dans tous les trous

Je la retourne, la penche sur le bureau, son cul offert comme un trophée, les dossiers qui volent sous son poids. « Je vais te baiser partout, t’es ma stagiaire du vice » je lui dis, et elle halète, « Vas-y, patron, remplis-moi, fais-moi passer l’entretien final ! » Je crache sur sa chatte, y enfonce ma queue d’un coup, la limant fort, mes mains claquant ses fesses comme un tam-tam, le bureau grinçant sous mes assauts. « T’es une chienne faite pour ça, une salope de luxe » je grogne, et elle crie, « Baise-moi plus fort, fais-moi hurler le nom de la boîte ! » Puis je passe à son cul, serré, lubrifié par sa mouille, et je l’encule, mes coups profonds la faisant trembler, un cul qui encaisse comme une pro. « Ton cul est parfait, t’es née pour mon service » je lâche, et elle gémit, « Défonce-moi, j’veux tout, embauche-moi avec ta bite ! » Je vais et viens entre sa chatte et son anus, alternant comme un chef qui teste son matos, jusqu’à ce qu’elle jouisse, son corps secoué, un cri qui fait vibrer la vitre.

Je jouis et je l’embauche

Je la remets à genoux, me branle devant elle, ma cravate dénouée qui pend comme un trophée. « Ouvre ta gueule, salope, prends ton salaire » je lui ordonne, et elle obéit, langue sortie comme une chienne affamée. J’éjacule, un jet épais qui gicle dans sa bouche, sur son visage, une peinture de foutre sur sa gueule de starlette, et elle avale, essoufflée, « T’es un boss, Maxence, je veux ce taf, paye-moi en sperme tous les jours ! » Je ris, essuie ma bite sur ses lèvres, un tampon officiel, « T’es embauchée, Ophélie, assistante coquine officielle, bienvenue dans la start-up du cul ! » Elle sourit, foutre sur les joues, « J’kiffe déjà le job, patron, je fais les heures sup’ quand tu veux ! » On s’effondre sur le canapé, moi satisfait, elle recrutée pour de vrai, un deal scellé dans le vice.

Avis sur ce plan cul

Ophélie m’a mis une claque, et Goussainville, avec ses entrepôts qui roupillent et ses trains qui grondent comme des spectateurs blasés, m’a semblé plus chaude ce jour-là, un décor qui mate mes conneries en rigolant. Elle m’a dit qu’elle kiffait les plans cul, et moi, je cherchais une salope pour pimenter mon business, mais elle a fait mieux, elle a passé l’entretien avec mention « salope d’or ». Ce premier round dans mon bureau, c’était un coup de maître, et maintenant, je me marre en pensant que je pourrais la garder, pas juste pour la baiser, mais pour en faire ma reine du vice, une meuf qui me suit dans mes délires pro et me vide les couilles en bonus.

Ça me fait réfléchir, mais pas trop sérieux : est-ce que je veux juste une assistante qui suce, ou une complice pour faire décoller ma start-up avec un peu plus de culot ? Elle m’a excité, elle m’a fait rire, et je me dis que je vais la tester encore, voir si elle tient le rythme ou si elle finit par me supplier pour une pause café. Un plan pareil, ça te donne envie de remettre le couvert juste pour le délire !

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