Villes de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine
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Le plan cul d’Emeric avec Lola à Gradignan
Je m’appelle Emeric, 30 ans, un mec un peu geek, cheveux en bataille, lunettes qui glissent sur mon nez, jean usé et t-shirt noir, pas le genre qui fait chavirer les cœurs, mais je me débrouille avec ce que j’ai. Je vis à Gradignan, dans un petit appart près de la fac, rue de la Poterie, un coin tranquille avec des platanes qui font de l’ombre et des étudiants qui glandent en fumant. Je donne des cours d’informatique à domicile pour arrondir les fins de mois, mais mon vrai délire, c’est l’uro, un fantasme chelou qui me hante depuis des années, ce goût salé qui me brûle la gorge, cette envie de me noyer sous une meuf qui pisse. Lola, je l’ai rencontrée par hasard, une étudiante qui m’a contacté pour apprendre Excel, un prétexte à la con. Elle m’a dit qu’elle avait 24 ans, qu’elle bossait en gestion, et qu’elle voulait des cours pratiques, mais à Gradignan, chez moi, ce qui devait être une leçon s’est transformé en un plan cul bien tordu, une dinguerie humide.
Je la surprends nue en train de pisser
Elle débarque un après-midi, brune, cheveux mi-longs qui tombent en vagues, yeux noisette malicieux qui te narguent, legging noir moulant ses cuisses fines et son cul bombé comme une pêche, crop top blanc qui laisse voir son nombril percé, une meuf qui pue le sexe sans le savoir. « Salut, Emeric, prête pour les tableaux croisés » elle lance, un sourire innocent qui cache une salope en herbe. On bosse une demi-heure dans mon salon, ordi sur la table basse, quand elle se tortille, « Faut que j’aille pisser, où sont tes chiottes, prof ? » Je lui indique la salle de bain au bout du couloir, et elle s’éloigne, son cul roulant sous le tissu comme une invitation. Quelques minutes passent, pas un bruit, alors je me lève, curieux comme un gosse qui mate par le trou de la serrure. La porte est entrouverte, et là, je la vois : nue, legging et top posés sur le lavabo, assise sur les toilettes, cuisses écartées comme une star de X. Sa chatte est rasée, lèvres roses légèrement ouvertes, un jet de pisse doré jaillit, puissant, frappant la cuvette avec un splash qui me fait bander direct. Elle me capte, sursaute, visage rouge, « Putain, Emeric, t’es là ? T’es un voyeur ou quoi ? » Je bafouille, « Je checkais si t’allais bien… ou si t’avais noyé mes chiottes ! » Elle grimace, « Ça brûle quand je pisse, j’ai mal, c’est la merde ». Ma queue durcit comme un piquet, et je m’avance, « Laisse-moi te lécher, ça va te soulager, j’suis ton infirmier du cul ». Elle hésite, puis écarte encore plus, un sourire en coin, « OK, fais-moi kiffer, mais t’es taré, hein ! »
Je lui bouffe la chatte pendant qu’elle me pisse dessus
Je m’agenouille entre ses jambes, colle ma bouche sur sa chatte chaude, un fourneau mouillé. Un filet de pisse coule encore, je l’avale, ça pique la langue, un goût salé qui me rend dingue, une fontaine de vice. Je lèche ses lèvres trempées, suce son clito qui pointe comme un bonbon, et elle gémit, « T’es un taré, mais c’est bon, bouffe-moi bien, prof ! » Sa chatte est douce, gonflée, son jus mêlé de pisse glisse sous ma langue comme un cocktail tordu. Son visage se crispe, yeux mi-clos, bouche ouverte, elle halète, « Continue, putain, t’es trop fort, t’as raté ta vocation de plombier ! » Je bois chaque goutte, ma bite raide dans mon jean, mes lunettes embuées par la vapeur de son corps, et elle jouit vite, ses cuisses serrant ma tête, un cri rauque qui fait trembler les murs. « T’aimes ça, hein, mon petit pissou ? » elle souffle, et je hoche la tête, « J’suis accro, Lola, t’es ma douche d’or ! »
Je lui propose de baiser directement
Elle se redresse, encore essoufflée, me mate, ses yeux brillant comme des phares, « T’es un malade, mais j’ai encore envie de pisser, t’en veux plus ? » Elle se rassoit, écarte sa chatte avec ses doigts, un sourire de salope, et un nouveau jet jaillit, clair, épais, droit dans ma bouche, une cascade qui me trempe. J’avale, ça déborde sur mon menton, trempe mon t-shirt, et elle rigole, « T’es mon chiotte, maintenant, un prof qui boit tout ! » Je la lèche encore, nettoyant sa fente dégoulinante, ma langue pataugeant dans son jus, et elle gémit, « T’es trop bon, Emeric, un pro de la vidange ! » Puis elle remarque ma bosse, « T’as une grosse queue là-dedans, sors-la, montre-moi ton matos ! » Je déboutonne, ma bite jaillit, longue, épaisse, un bâton de geek prêt à l’emploi, et elle siffle, « Je veux baiser direct, viens, fais-moi grimper au rideau ! » Je la tire dans la chambre, la jette sur le lit, matelas qui couine sous son poids, et elle grimpe sur moi, « Défonce-moi, j’suis trempée pour toi, prof de mes fesses ! »
Elle me chevauche et je la baise comme une chienne
Elle s’empale sur ma queue, sa chatte serrée m’engloutit comme un gant chaud, et elle commence à bouger, ses seins dansant sous son crop top relevé, des airbags qui rebondissent. « Baise-moi fort, fais-moi couiner » elle ordonne, visage rouge, yeux brillants comme une gamine en chaleur, et je donne des coups de reins profonds, la remplissant à fond, un marteau-pilon sous ses fesses. « T’es une salope qui pisse partout, une fontaine à vice » je lâche, et elle crie, « Oui, Emeric, fais-moi jouir encore, arrose-moi de ton foutre ! » Sa chatte claque contre moi, ses lèvres roses s’étirent autour de ma bite, et je sens son jus couler sur mes couilles, une mare de débauche. Elle hurle, jouit une deuxième fois, ses ongles plantés dans mes épaules, et je la suis, giclant dans sa chatte, mon sperme la remplissant alors qu’elle s’effondre sur moi, « Putain, t’es un bon coup, prof, t’as validé mon exam’ ! »
Avis sur ce plan cul
Lola m’a mis la tête à l’envers, et Gradignan, avec ses platanes qui regardent passer les étudiants comme des spectateurs blasés, est devenu mon petit paradis tordu, un coin trop sage pour nos conneries humides. Elle m’a dit qu’elle aimait se lâcher, et moi, j’ai trouvé ma reine de la pisse, une meuf qui me fait boire ses délires et me baise comme une bête. Ce premier cours s’est transformé en routine : elle passe souvent, pisse dans ma bouche comme une fontaine de jouvence, je la lèche jusqu’à plus soif, on baise comme des porcs, et elle repart avec ma semence dans la chatte, un deal parfait. On parle même de se mettre ensemble, un truc qui part d’un vice et qui finit en cœur débile. Ça me fait marrer dans ma tête : je voulais juste une salope pour mon fantasme, mais elle m’a collé une laisse de pisse et un sourire con, et maintenant, je la veux pour toujours, pas juste pour son jet ou sa chatte, mais pour cette dinguerie qu’on vit, un mélange de sale et de mignon qui me fait bander et rire en même temps. Elle m’a pissé dessus, et j’ai plongé tête la première !