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Le plan cul de Joachim avec Mélissa à Grande-Synthe
Je m’appelle Joachim, 34 ans, un mec baraqué, cheveux courts noirs, yeux verts qui te fusillent, toujours en jeans et veste en cuir, un look de bad boy qui fait mouiller les chattes des nanas du coin. Je bosse comme mécano dans un garage près du port de Grande-Synthe, un bled industriel avec des grues qui grincent et des fumées qui puent l’acier, un décor qui sent la sueur et le vice. J’ai grandi là, entre les docks et les HLM, et j’ai toujours eu un faible pour les plans tordus, traiter les meufs de salopes ou de putes, voir leurs yeux briller quand je les rabaisse, et les baiser jusqu’à ce qu’elles me supplient d’arrêter ou d’en remettre une couche. Mélissa, je l’ai dégottée sur annonce-salope.fr, une nana de 29 ans qui m’a répondu après mon annonce bien crue, un texte qui pue le cul à dix bornes. On a tchatté, partagé nos histoires de barges, et quand on a capté qu’on kiffait les mêmes saloperies, on s’est donné rdv chez elle. À Grande-Synthe, ce plan cul a été une putain de claque dans la gueule.
Je la chauffe sur le tchat avec nos histoires
Tout a démarré sur le tchat, un échange qui sentait déjà la baise brute. Je lui raconte une fois où j’ai tringlé une serveuse dans les chiottes d’un bar près de la plage de Malo-les-Bains, une meuf qui m’a sucé derrière le comptoir, la bouche pleine de ma queue, avant que je la plaque contre le mur, lui murmurant qu’elle était une pute pendant que je la défonçais. Elle me répond avec son délire, un soir où elle s’est fait sauter par deux mecs dans une bagnole garée près du canal de Bourbourg, les laissant l’appeler salope pendant qu’ils la bourraient à tour de rôle, une vraie chienne en chaleur. « J’adore quand on me traite de chienne, ça me fait mouiller comme une fontaine » elle m’écrit, et moi, je bande direct, « T’es une vraie pute, Mélissa, on va s’éclater comme des porcs ». On se lâche encore, moi avec une collègue que j’ai enculée dans la réserve du garage, le cul à l’air entre les pneus, elle avec un inconnu qui l’a doigtée dans un parc à Dunkerque, la traitant de salope pendant qu’elle jouissait sur ses doigts. On capte qu’on est sur la même longueur d’onde, et je lui balance mon plan, « Gorge profonde, anal hard, vaginal long, je vais te démonter », et elle valide, « Viens me défoncer, Joachim, fais-moi hurler comme une pute ! »
Je la salue et je lui baise la gorge direct
Je débarque chez elle, un appart près de la place du Marché, vue sur les immeubles gris et les entrepôts au loin, un coin qui pue le béton mais qui va bientôt puer le cul. Elle ouvre, petite brune, cheveux raides jusqu’aux épaules, yeux bleus perçants qui te niquent, legging gris qui moule son cul rond comme une boule de bowling, débardeur qui laisse deviner ses seins fermes, une salope prête à l’emploi. Je l’embrasse sur le front, un geste tendre pour la faire marrer, puis je lèche son cou, son parfum sucré me chatouillant la langue. « À genoux, salope » je lui dis, et elle obéit, un sourire excité qui dit « vas-y, éclate-moi », « Traite-moi de pute, Joachim, fais-moi kiffer ! » Je sors ma queue, déjà raide comme un tuyau, et elle me suce direct, baveux, sa langue glissant sur mes veines comme une pro. Je lui attrape la tête, la baise par la gorge, dix minutes de va-et-vient brutaux, ma bite cognant sa glotte, un marteau-pilon dans sa bouche. Elle bave partout, ses yeux larmoyants, « T’es un porc, j’kiffe, bourre-moi la gueule ! » Je grogne, « T’es une chienne à pipes, Mélissa, une salope née pour ça ! »
Je la prends par le cul bien profond
Je la relève, la retourne, elle se met à quatre pattes sur le canapé, cambrée comme une vraie pute, son cul en l’air qui appelle ma queue. « Encule-moi, Joachim, fais-moi mal » elle supplie, et je crache sur son cul, son trou serré qui s’ouvre sous mes doigts comme une fleur perverse. Je la pénètre, sans lubrifiant comme elle voulait, ma bite s’enfonçant dans son anus étroit, un étau qui me serre, et elle crie, « Putain, t’es énorme, défonce-moi, salaud ! » Je la lime, profond, mes couilles claquant contre sa chatte qui mouille déjà comme une fuite d’eau, et elle gémit, « J’suis ta salope, vas-y, éclate mon cul ! » Je lui claque le cul, rouge sous mes mains, un bruit qui résonne comme une fessée de barbare, et elle jouit, trempée, son corps secoué par mes coups, une chienne qui hurle. « T’es une pute anale, une salope à trous » je lui dis, et elle halète, « Encore, j’veux plus, fais-moi exploser ! »
Je lui rince le gosier pendant une gorge profonde
Pour changer, je la tire par les cheveux, la remet à genoux, « Suce encore, chienne, t’as pas fini ton boulot ». Elle m’avale, gorge profonde, ma bite glissant dans sa bouche baveuse, un gouffre chaud et humide, et je la baise là-dedans, sentant sa langue s’agiter comme une folle. « T’es une pute à sperme, une salope qui boit tout » je lâche, et elle marmonne, étouffée, « Donne-moi tout, Joachim, remplis-moi la gueule ! » Ses joues creusées, ses yeux brillants comme des phares, elle me pompe comme une affamée, une machine à sucer, et je kiffe voir cette salope se donner à fond, une vraie chienne de concours. Je la repousse après un moment, prêt pour la suite, « À quatre pattes, salope, j’ai pas fini de te démonter ! »
Je la baise le vagin jusqu’à la limite
Elle se recambre, chatte luisante offerte comme un cadeau trempé, et je la pénètre d’un coup, ma bite s’enfonçant dans sa fente chaude, un four qui m’aspire. « T’es une pute qui mouille trop, une salope dégoulinante » je siffle, et elle hurle, « Baise-moi fort, j’suis ta chienne, fais-moi gueuler ! » Je la défonce, long, dur, mes hanches claquant contre son cul, un bruit de viande qui cogne, et elle jouit encore, sa chatte serrant ma queue comme un étau, une salope qui explose. Je tiens l’endurance, la pilonnant sans relâche, mes muscles bandés, et elle gémit, « T’es un dieu, Joachim, continue, fais-moi crever de plaisir ! » Je la baise jusqu’à ce que mes couilles chauffent comme un moteur, puis je me retire, la retourne, « Suce-moi, salope, finis-moi, vide-moi ! » Elle me pompe, bave partout, une fontaine de salive, et je jouis, un jet épais qui lui rince la bouche, qu’elle avale en gémissant, « T’es trop bon, putain, un roi du cul ! »
Avis sur ce plan cul
Mélissa m’a mis K.O., et Grande-Synthe, avec ses docks qui puent la rouille et ses HLM qui regardent passer les barges, m’a semblé plus bandante ce jour-là, un décor qui mate nos saloperies en silence. On s’est chauffés sur le tchat avec nos histoires de barges, et en vrai, c’était une putain de bombe : une salope qui kiffe les insultes autant que moi, une chienne qui me suit dans mes délires les plus crades, un match parfait. Elle m’a dit qu’elle adorait se sentir comme une pute, et moi, j’ai kiffé la traiter de salope tout en la défonçant, un duo qui pue le vice à plein nez. Ce rdv, c’était une tuerie, mais ça m’a fait marrer dans ma tête : je pourrais juste la baiser encore, lui éclater le cul jusqu’à ce qu’elle s’écroule, ou alors, pousser le délire, faire d’elle ma partenaire de chasse, une salope bi qui m’aide à ramasser d’autres chiennes pour les humilier et les baiser à deux, un tandem de porcs qui fait trembler les lits. Elle m’a marqué, cette pute, et j’ai déjà ma queue qui frétille à l’idée de la revoir, pas juste pour un coup, mais pour voir jusqu’où on peut salir le monde ensemble !