Plan cul Grasse

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Le plan cul d’Amaury avec Bella à Grasse

Je m’appelle Amaury, 25 ans, grand, brun, mince, toujours en costard un peu trop grand qui flotte sur moi, un look d’agent immobilier débutant qui essaie de se la jouer pro, un gamin qui fait semblant d’être grand. Je viens de décrocher un job dans une petite agence à Grasse, près de la place du Petit Puy, un coin où les ruelles sentent le jasmin et les vieilles pierres, un décor qui cache bien mes délires. J’aime ce taf, estimer des apparts, négocier avec des proprios, mais je suis encore fébrile, un bleu qui tremble face aux clients malins qui me roulent. Bella, je l’ai trouvée sur annonce-salope.fr, une meuf de 32 ans qui m’a contacté après mon annonce où je proposais un jeu de rôle tordu : elle voulait vendre son appart, et moi, jouer l’agent naïf qui se fait avoir comme un con. On a tchatté, elle m’a dit qu’elle kiffait manipuler les mecs, les faire plier avec un sourire, et moi, j’ai avoué que je rêvais de me faire dominer un peu, de lâcher prise sous ses ordres. À Grasse, chez elle, ce rdv pro a viré en plan cul hardcore, et putain, elle m’a plié en deux.

Je la surprends en jouant l’agent naïf

Je toque chez elle, un appart lumineux près du cours Honoré Cresp, avec vue sur les collines et les toits ocre de Grasse, un nid qui pue le luxe discret. Elle ouvre, sublime, cheveux noirs ondulés qui dansent sur ses épaules, yeux verts perçants qui te niquent direct, robe légère qui moule ses seins ronds comme des melons et son cul ferme comme une pêche mûre. « Salut, Amaury, l’agent immobilier, c’est ça ? » elle dit, un sourire en coin qui sent le piège. Je hoche la tête, maladroit, « Ouais, je viens estimer ton appart, faire mon taf de pro ». On visite, salon cosy avec des coussins partout, cuisine ouverte qui brille, et je note tout sur ma tablette, un peu nerveux, ma cravate qui me gratte. Je lui annonce un prix, volontairement bas pour lancer le jeu, « 220 000 euros, maximum, c’est ma première offre ». Elle fronce les sourcils, faussement vexée, « Sérieux ? C’est bien trop bas, t’es sûr de toi, petit malin ? » Je bafouille, jouant le bleu, « Euh, ouais, c’est le marché, je crois… » Elle voit ma faiblesse, s’approche, ses talons claquant sur le parquet, « Il fait chaud, non ? » et retire sa robe d’un geste, révélant un soutien-gorge noir qui hurle le sexe et une culotte assortie qui appelle ma bite. Je rougis, « Euh, Bella, qu’est-ce que tu fais ? T’essaies de me soudoyer ou quoi ? »

Elle me baisse le froc et me suce la gorge

Elle rigole, un son qui me désarme, s’approche encore, et je recule, penaud, jusqu’à cogner le canapé comme un gosse perdu. « T’es mignon quand t’es perdu, un vrai petit agent en carton » elle murmure, et d’un coup, elle défait ma ceinture, baisse mon pantalon, mon caleçon avec, un strip-tease inversé qui me fout à poil. Ma bite jaillit, déjà raide comme un piquet, et elle sourit, « Pas si pro que ça, hein ? T’as une queue qui trahit ton CV ! » Je bredouille, « Bella, faut pas, c’est pas dans le contrat… », mais elle s’agenouille, m’avale direct, sa bouche chaude glissant sur ma queue comme un gant brûlant. « Suce-moi profond, salope » je lâche, jouant le jeu malgré ma voix qui tremble, et elle enfonce ma bite dans sa gorge, baveuse, ses yeux levés vers moi, une salope qui me nargue. Je gémis, « Putain, t’es bonne, une vraie pro du pipeau ! » Elle me pompe dix minutes, gorge profonde, ma bite cognant sa glotte, un marteau dans sa bouche, et je tremble, « T’es une suceuse de luxe, toi, t’as raté ta vocation ! » Elle se relève, essoufflée, un filet de bave au coin des lèvres, « T’as pas tout vu, petit agent, t’es pas encore au bout de ton estimation ! »

Elle me grimpe dessus pour un face sitting

Elle vire sa culotte, révélant une chatte rasée, lèvres roses et humides qui brillent comme une invitation, et grimpe sur le canapé, ses cuisses encadrant ma tête. « Assieds-toi sur ma gueule, fais-moi bouffer » je lui dis, excité, la voix rauque, et elle s’installe, son cul et sa chatte écrasant mon visage, un poids qui m’étouffe de plaisir. Je lèche, ma langue fouillant sa fente trempée, son clito dur sous mes lèvres comme un bouton à presser. « T’es ma pute » je grogne sous elle, à moitié étouffé, et elle gémit, « Bouffe-moi, petit con, fais-moi jouir ou t’es viré ! » Son poids me plaque, son jus coule dans ma bouche, un nectar salé qui me noie, et elle se frotte, jouissant vite, son cri rauque faisant vibrer les vitres. « T’aimes ça, hein, mon petit lèche-cul ? » elle souffle, et je hoche la tête, étourdi, le visage trempé, « J’suis à toi, Bella, t’es ma patronne du cul ! »

Je la baise après son ordre improvisé

Elle se lève, me tire par la cravate comme un chien en laisse, « Baise-moi, maintenant, c’est ma pratique à moi, bouge ton cul d’agent ! » Elle se penche sur la table, cul en l’air, une offrande qui hurle la baise, et je m’enfonce dans sa chatte d’un coup, ma bite la remplissant, un fourreau chaud qui m’aspire. « T’es une salope qui manipule, une chienne de luxe » je siffle, et elle halète, « Oui, défonce-moi, agent, fais-moi hurler ta commission ! » Je la lime, fort, mes hanches claquant contre son cul, la table grinçant sous mes assauts, et elle crie, « Plus dur, putain, fais-moi exploser ! » Je la prends comme une chienne, ma queue glissant dans sa mouille, un lac qui déborde, et elle jouit encore, serrant ma bite comme un piège. Je me retire, la retourne, « Suce-moi encore, salope, finis ton inspection ! » Elle m’avale, gorge profonde, sa langue dansant sur ma queue, et je jouis, giclant dans sa bouche, qu’elle avale en me fixant, « T’es embauché dans mon lit, Amaury, bienvenue dans mon agence du vice ! »

Avis sur ce plan cul

Bella m’a démonté, et Grasse, avec ses parfums qui flottent et ses ruelles qui cachent des secrets, m’a semblé plus chaude ce jour-là, un décor qui rigole de mes conneries. Elle m’a dit qu’elle kiffait jouer les dominantes, et moi, j’ai adoré me faire avoir, un petit agent pro qui finit à poil sous ses ordres. Ce rdv bidon pour un appart, c’était une baise d’anthologie, entre sa gorge qui m’a vidé les couilles et son cul qui m’a étouffé la gueule, une estimation à 100 % vice. Ça m’a fait marrer dans ma tête : je voulais juste un plan tordu, mais elle m’a donné une leçon, et maintenant, je me vois bien revenir, pas pour vendre son appart, mais pour la laisser me manipuler encore, me faire plier comme un con qui kiffe ça. Elle m’a retourné, et je me dis que je pourrais signer pour plus, pas juste un coup, mais un bail longue durée avec cette salope qui me fait bander et rire en même temps. Un plan comme ça, ça te marque au fer rouge, et j’ai déjà ma queue qui frétille pour la suite !