Villes d’Essonne en région Île-de-France
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Le plan cul d’Evan avec Diana à Grigny
Je m’appelle Evan, 48 ans, caucasien, costaud mais élégant, cheveux grisonnants coupés court, toujours bien sapé, un mec qui joue les gentlemen en public mais qui cache un baiseur de première sous ses airs proprets. Je vis à Grigny, dans un pavillon discret près du lac de la Grange du Bois, un coin où les barres d’immeubles toisent les maisons tranquilles, pas loin de la gare RER, un décor qui masque bien mes vices. Je suis masseur pro depuis quinze ans, formé à Paris dans un centre huppé, et j’ai monté mon petit business ici, entre séances à domicile et clients réguliers qui kiffent mes mains magiques. Mais derrière les huiles et les tables de massage, j’ai une autre gueule : un mec qui aime défoncer, dilater, pousser les corps jusqu’à ce qu’ils craquent de plaisir, un artisan du cul.
Mon matériel de godage/dilatation pour salope
J’ai une sacoche noire remplie de matos pour ça, des jouets étudiés pour ouvrir grand, faire hurler, des plugs gonflables qui gonflent comme des ballons, des godes coniques qui te déchirent en douceur, un spéculum médical chopé sur un site chelou, un arsenal de pro du vice. Diana, je l’ai trouvée sur annonce-salope.fr, une meuf de 35 ans qui m’a répondu après mon annonce soft mais bien suggestive, un piège à salopes. On a tchatté, elle m’a envoyé des photos d’elle se doigtant la chatte et le cul, des trous élastiques qui s’étiraient comme du chewing-gum, un truc rare qui m’a fait bander direct, ma queue déjà au garde-à-vous. À Grigny, dans une chambre d’hôtel, je l’ai démontée comme une chienne, et putain, elle m’a suivi jusqu’au bout, une salope en or.
Je la reçois à l’hôtel avec une collation
On s’est donné rdv à l’Hôtel Première Classe, un truc basique près de la N7, façade grise, parking désert, un spot discret pour nos saloperies. J’arrive en avance, réserve une chambre au premier étage, vue sur les arbres et les bagnoles qui filent au loin, un décor qui va vite puer le cul. Je prépare une collation, thé vert, café noir, jus d’orange dans des gobelets en plastique, un plateau posé sur la table basse, histoire de jouer les hôtes civilisés avant de passer aux choses sérieuses. Je porte un peignoir blanc, comme elle m’a demandé sur le tchat, rien dessous, ma queue déjà à moitié raide, un ressort prêt à jaillir. Elle toque, entre, une brune élancée, cheveux lisses jusqu’aux épaules, yeux marrons qui pétillent comme des braises, peau mate, legging noir moulant ses cuisses musclées, chemisier blanc un peu transparent qui laisse deviner ses seins lourds, une bombe qui cache une salope. « Salut, Evan, c’est cool de te voir en vrai » elle dit, un sourire timide mais coquin qui dit « je vais te bouffer ». Je lui tends un jus, « Salut, Diana, prends un verre, fais comme chez toi, on va pas parler compta toute la nuit ! » On s’assoit sur le lit, sirote nos boissons, et elle me raconte qu’elle bosse comme comptable à Viry-Châtillon, qu’elle vit seule depuis un an, et qu’elle kiffe se lâcher en privé, une double vie qui me fait saliver. Moi, je lui parle de mes massages, de mes années à palper des corps, et je vois ses yeux me scanner, curieuse, déjà chaude.
Je lui masse le corps et je la déshabille
Je pose mon verre, me lève, et lui dis doucement, « Mets-toi à l’aise, je vais te masser un peu, te détendre avant de te démonter ». Elle hoche la tête, s’allonge sur le lit, et je commence par lui enlever son chemisier, bouton par bouton, révélant un soutif noir en dentelle qui contient à peine ses seins ronds, tétons déjà durs qui pointent comme des clous. Je défais l’agrafe, libère sa poitrine, et mes mains glissent sur son cou, pétrissant ses trapèzes tendus, un massage de pro pour une salope. « T’es doué, masseur » elle murmure, fermant les yeux, et je malaxe ses seins avec mes pouces et index, pinçant délicatement ses tétons bruns, « Je suis pas qu’un pro des épaules, attends de voir la suite ! » Elle gémit, « Continue, Evan, j’aime ça, fais-moi fondre ! » Je descends, caresse son ventre plat, puis retire son legging, sa culotte avec, dévoilant une chatte rasée, lèvres épaisses et entrouvertes comme une bouche affamée, un cul ferme qui appelle la fessée. Je masse ses cuisses, effleure son entrejambe, et elle écarte les jambes, « Touche-moi là, vas-y, fais-moi trembler ! » Ma bite durcit sous le peignoir, un chapiteau qui se monte, et je sais qu’on va pas rester dans le soft, c’est parti pour le carnage.
Je lui lèche la chatte jusqu’à la faire jouir
Je m’agenouille entre ses cuisses, pose ma langue sur sa chatte, goûtant son jus sucré qui coule déjà comme une fontaine. « T’es une salope qui mouille vite, une vraie chienne » je lâche, et elle rigole, « Lèche-moi, fais-moi kiffer, masseur de mes fesses ! » Je plonge, ma langue fouillant ses lèvres, suçant son clito gonflé comme un bonbon, et elle se cambre, ses mains agrippant les draps, « Putain, t’es bon, continue, bouffe-moi comme un porc ! » Je la bouffe dix minutes, alternant entre coups lents et rapides, un festin de salope, et elle jouit, son cri rauque remplissant la chambre, sa chatte pulsant sous ma bouche comme un moteur. « T’es un pro, Evan, un roi de la langue » elle halète, et je relève la tête, « C’est que le début, ma belle, prépare tes trous pour la suite ! » Ses photos me reviennent, ses doigts enfoncés dans son cul et sa chatte, et je capte qu’elle peut encaisser un semi-remorque, une salope taillée pour moi.
Je la prends par tous les trous comme une chienne
Je vire mon peignoir, ma queue raide, longue, épaisse, un bâton de pro prêt à taper. « À quatre pattes, salope » je lui dis, et elle obéit, cul en l’air sur le lit, une offrande qui hurle la baise. Je crache sur sa chatte, la pénètre d’un coup, ma bite s’enfonçant dans sa fente chaude, un four qui m’aspire. « T’es une pute qui aime ça » je grogne, et elle crie, « Baise-moi fort, Evan, fais-moi gueuler ! » Je la lime, mes hanches claquant contre son cul, un bruit de viande qui cogne, puis je passe à son anus, lubrifié par sa mouille, et l’encule profond, sentant son trou serré s’ouvrir sous mes coups comme une porte défoncée. « Ton cul est fait pour ça, une salope à trous » je siffle, et elle gémit, « Défonce-moi, j’suis ta chienne, éclate-moi ! » Je vais et viens entre sa chatte et son cul, alternant comme un chef qui teste ses outils, et elle jouit encore, trempée, hurlant mon nom, une salope en transe. « T’es une salope insatiable, une machine à baiser » je lui dis, et elle halète, « Plus, Evan, donne-moi plus, fais-moi crever de plaisir ! »
Je lui dilate les trous avec mes jouets
Je me lève, attrape ma sacoche noire sous le lit, un arsenal de pro du vice, « T’as les orifices élastiques, toi, on va jouer sérieux » je lui dis, repensant à ses photos, et elle sourit, « Fais-moi découvrir, je veux tout essayer, ouvre-moi comme une salope ! » Je commence avec le plug gonflable, l’enduis de lubrifiant, l’enfonce dans son cul, et pompe l’air, le gonflant doucement, un ballon qui lui éclate le fion. Elle gémit, « C’est énorme, putain, j’kiffe, fais-moi un cul de star ! » Son anus s’étire, rose et luisant, et je passe au spéculum, l’insérant dans sa chatte, ouvrant ses lèvres pour voir à l’intérieur, profond, humide, un tunnel de salope. « T’es une salope dilatée, une chienne ouverte » je lâche, et elle tremble, « Continue, Evan, fais-moi jouir, ouvre-moi jusqu’au bout ! » Je glisse le gode conique dans son cul, l’élargissant encore, un cône qui la déchire en douceur, et elle hurle de plaisir, son corps secoué par un orgasme brutal, une salope qui explose.
Je la fiste par les deux trous sans douleur
Je retire les jouets, mes mains prêtes, « T’es faite pour ça, une salope à poings » je lui dis, et je glisse trois doigts dans sa chatte, puis quatre, lubrifiée par sa mouille, un lac qui m’invite. Elle écarte les cuisses, « Fiste-moi, vas-y, bourre-moi les trous ! » Je pousse, ma main entière entre, son vagin s’ouvrant sans résistance, et je bouge doucement, la faisant gémir, « C’est trop bon, putain, t’es un dieu du fist ! » Puis je passe à son cul, quatre doigts d’abord, puis ma main, son anus élastique l’avalant sans douleur, un trou qui me bouffe. « T’es une chienne à fist, une salope extensible » je grogne, et elle jouit encore, sa chatte et son cul pulsant autour de mes mains, un cri sauvage qui me rend dingue, une bête en chaleur. « T’es incroyable, Evan, un pro du massacre » elle souffle, et je retire mes mains, ma bite raide à nouveau, prête à finir le boulot.
Je lui rince la bouche et le visage avec mon sperme
Je la retourne, la mets à genoux, « Suce-moi, salope, vide-moi » je lui dis, et elle m’avale, gorge profonde, sa bouche baveuse glissant sur ma queue, un aspirateur de foutre. « T’es une pute à foutre, une salope à jus » je lui dis, et elle marmonne, « J’veux ton jus, Evan, arrose-moi ! » Je la baise là-dedans, mes couilles cognant son menton, et je jouis, un flot épais qui gicle dans sa gorge, déborde sur ses lèvres, une douche de sperme qui la peint. Elle avale, essoufflée, « T’es un dieu, putain, un roi du massage et du cul ! » On s’effondre sur le lit, elle trempée, moi vidé, et elle rigole, « Faudra remettre ça, masseur, t’es mon pro attitré maintenant ! »
Avis sur ce plan cul
Diana m’a scotché, et Grigny, avec son lac qui dort et ses tours qui regardent passer les trains, m’a semblé plus bandant ce jour-là, un décor trop sage pour nos conneries. Elle m’a dit qu’elle kiffait se lâcher, et moi, j’ai vu en elle une salope de rêve, une meuf qui passe du soft au hard sans sourciller, une chienne qui encaisse tout. Ce rdv à l’hôtel, c’était une putain de fête, du massage gentillet à ses trous dilatés jusqu’au fist qui l’a fait hurler comme une dingue, un festival de vice. Ça m’a fait marrer dans ma tête : je voulais juste un plan tranquille, mais elle m’a tiré dans un délire extrême, et j’ai kiffé jouer les pros du cul jusqu’au bout. Elle m’a excité à mort, et maintenant, je me vois bien la reprendre, pas juste pour la baiser ou la masser, mais pour voir jusqu’où ses trous peuvent m’emmener, peut-être devenir son maître du fist, un duo de barges qui repousse les limites pour le fun. Un plan comme ça, ça te colle une trique et un sourire, et j’ai déjà hâte de remettre mes mains dans ses saloperies !