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Villes de la Loire-Atlantique en région Pays de la Loire
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Le plan cul d’Evan avec Diana à Guérande
Je m’appelle Evan, 29 ans, blond, 1m82, un mec qui aime les plans cul qui dérapent en beauté, avec un sourire de voyou et une queue qui assure grave, un outil qui fait des ravages. J’habite à Guérande, dans un appart près des remparts, un coin où les pierres anciennes croisent les marais salants, l’air piquant de sel et d’embruns, un décor qui cache mes vices. Graphiste freelance, je passe mes journées à bosser des designs, mais mes nuits, c’est pour traquer des salopes sur annonce-salope.fr, des chiennes qui savent ce qu’elles veulent, prêtes à se faire démonter sans jouer les saintes-nitouches. Diana, une brune de 26 ans, prof de danse à Nantes, m’a répondu à mon annonce avec un message qui m’a fait bander direct, « J’veux un mec qui me fasse hurler, t’as intérêt à être à la hauteur, sinon je te castre ». On a tchatté, elle m’a avoué qu’elle adorait provoquer en douce, allumer les mecs jusqu’à ce qu’ils craquent, et moi, j’ai sorti mon plan, resto, Uber, ascenseur, puis chez moi pour la ruiner, un programme de salaud. À Guérande, elle m’a mis dans tous mes états, et bordel, je l’ai éclatée jusqu’à ce qu’elle me vide les couilles.
Elle me chauffe la bite au resto sans vergogne
Je l’invite au Saint Louis, un resto discret près de la porte Saint-Michel, lumière basse, odeur de crustacés qui flotte, un spot parfait pour commencer crade. Elle arrive, une bombe, robe noire moulante qui sculpte son cul charnu et ses seins tendus comme des obus, cheveux bruns relevés en chignon, lèvres peintes en rouge sang, une salope qui pue le sexe à dix mètres. On s’installe, commande des huîtres et un Muscadet bien frais, et on plonge direct dans le sale, pas de chichi. « T’as déjà baisé dans un endroit chelou ? » je lui balance, l’œil brillant, et elle se penche, voix rauque, « Dans les vestiaires de ma salle de danse, un élève m’a tringlée contre les casiers, il m’a appelée sa pute privée pendant que je le laissais me bourrer comme une chienne ». Ma queue se tend sous la table, un piquet qui hurle, et elle le sent, glisse sa main en douce, ses doigts serrant ma bosse comme une pro, un étau de salope. « T’es une vicieuse qui sait pas tenir en place » je lui glisse, et elle répond, chaude, « Si tu savais comment j’vais te faire raquer sous cette nappe, tu supplierais déjà pour que je te vide les couilles ! » Elle pince mon gland à travers le tissu, un sourire de salope aux lèvres, et je grogne bas, « Garde tes mains occupées, chienne, ou je te fais jouir devant tout le monde, t’auras qu’à expliquer au serveur ! »
Elle s’astique la chatte dans l’Uber et je la triture
On appelle un Uber, un mec à casquette qui met du rock et roule sans rien capter, un figurant dans notre film porno. Diana se cale contre moi, remonte sa robe, écarte sa culotte, et se caresse, ses doigts glissant sur sa fente luisante, ses yeux plantés dans les miens, une salope qui joue. « Regarde-moi bien, toi, j’vais me faire kiffer pendant que t’es là à baver comme un con » elle lâche, provocante, et je l’attrape par la nuque, lui colle une pelle bien profonde, ma langue fouillant sa bouche au goût de vin, un baiser qui pue le vice. Ma main plonge entre ses cuisses, « T’es une salope qui pue le vice, écarte plus que je te démonte » je lui grogne, et elle réplique, « Fourre-moi tes doigts, fais-moi dégouliner jusqu’à ce que ce siège soit une pataugeoire ! » Mon majeur s’enfonce dans sa chatte chaude, puis l’index, je la triture en cadence, sa mouille poissant ma paume, une mare de salope, et elle souffle, « Oui, magne-toi, fais-moi craquer avant qu’on arrive, salaud ! » Elle jouit, un râle étouffé contre ma gorge, son corps secoué, et le chauffeur continue à fredonner, paumé, un mec qui rate le spectacle.
Je lui éclate la chatte à mains nues dans l’ascenseur
On débarque chez moi, un immeuble clean rue de Bizienne, et dans l’ascenseur, je la plaque contre la paroi, ses seins écrasés sur le métal glacé, une salope coincée. « Relève ton cul, sale pute, je vais te faire hurler avant l’étage » je lui siffle, et elle ricane, « Vas-y, enfonce-moi jusqu’à ce que je te supplie d’arrêter, si t’en as les couilles, petit voyou ! » Je tire sa robe, glisse trois doigts dans sa chatte, la pilonnant comme un marteau, mes phalanges claquant dans son jus brûlant, un déluge de mouille. « Putain, oui, explose-moi, fais-moi sentir chaque centimètre, défonce-moi les murs ! » elle crache, cambrée à fond, son cul frôlant ma bite raide, une provocation en chair. Elle m’attrape le froc, me branle à travers, puis se jette à genoux, m’avale d’un coup, sa bouche vorace engloutissant ma queue, une salope affamée. « T’es ma salope à pipes » je grogne, et je lui baise la gorge, ma bite cognant son palais pendant qu’elle bave, « Ravage-moi la bouche, salaud, fais-moi boire ton vice jusqu’à ce que je m’étouffe ! »
Je lui dévaste la tronche et la chatte en 69
On entre chez moi, je claque la porte, et lui arrache sa robe, ses fringues s’éparpillent comme des chiffons sur le parquet, un champ de bataille. Elle est nue, corps sculpté par la danse, chatte rasée qui goutte, cul rond qui appelle la fessée, une salope taillée pour le vice. Je m’allonge sur le lit, la hisse sur moi, « Colle ton trou sur ma gueule, salope, et pompe-moi jusqu’à ce que je te gave de foutre ! » Elle s’installe, son cul au-dessus de mon visage, et je lui dévore la chatte, ma langue fouillant ses replis trempés, mes lèvres aspirant son clito comme un bonbon. « Bouffe-moi comme un chien affamé, fais-moi jaillir sur ta langue, salaud ! » elle hurle, et sa bouche s’attaque à ma bite, une fellation brutale, ses dents frôlant mon gland, sa gorge avalant tout, une salope qui gobe. « T’es une salope qui sait y faire » je grogne, et elle réplique, essoufflée, « Suce-moi jusqu’à ce que je te noie, et je te viderai les burnes en retour, t’auras plus rien à cracher ! » On se mange, sa mouille me barbouille, ma queue la fait hoqueter, et elle jouit, son cri vibrant contre mon chibre, une chienne en feu.
Je lui démonte les trous contre le mur
Je la redresse, la coince contre le mur, ses paumes à plat sur le plâtre, une salope acculée. « Ouvre ton cul, sale chienne, je vais te bourrer jusqu’à ce que t’en pleures » je lui crache, et elle répond, brûlante, « Remplis-moi partout, fais-moi gueuler comme une pute en chaleur, casse-moi tout ! » Je crache sur son anus, le lèche, ma langue râpant son trou étroit, une mise en bouche, puis je la pénètre, ma bite s’enfonçant dans sa chatte d’un coup violent, un bélier qui frappe. « T’es un salaud qui sait tringler, éclate-moi les trous ! » elle hurle, et je la baise, alternant entre sa chatte et son cul, mon gland déchirant son anus serré, mes va-et-vient la secouant comme un pantin, une poupée à défoncer. « Prends ça dans tes trous, salope, t’es ma chienne à tout ! » je grogne, et elle jouit, ses jambes flageolant, une salope qui craque. Je me retire, lui balance une giclée en pleine face, mon foutre épais lui peint les lèvres et le nez, « Lèche ça, pute, t’es mon tableau vivant ! »
Je lui recloue la chatte pour la terminer
Elle s’essuie pas, mon jus coule sur son menton, une salope marquée, et je la jette en levrette sur le lit, « T’es encore vive, salope, je vais t’achever » je lui grogne. « Bourre-moi encore, vide-toi dans ma chatte jusqu’à ce que je m’écroule, finis-moi ! » elle réplique, cul relevé, une offrande trempée. Je la pénètre, sa chatte chaude et gluante m’aspirant, un gouffre de vice, et je la baise, d’abord en rythme, puis comme un possédé, mes couilles claquant contre ses cuisses, un tam-tam de baise. « T’es un porc, fais-moi exploser une dernière fois, vide tes dernières gouttes ! » elle hurle, et je jouis, une décharge brûlante dans son vagin, pendant qu’elle s’effondre, secouée par un orgasme final, une salope K.O. On s’écroule, elle se colle à moi, un câlin sale après la guerre, « T’as une queue qui tue, Evan, t’as tout ravagé, t’es un dieu du cul ! »
Avis sur ce plan cul de dingue
Diana m’a mis à terre, et Guérande, avec ses remparts qui toisent et ses marais salants qui brillent sous la lune, m’a semblé plus crade ce soir-là, un décor qui ricane de mes saloperies. Elle m’a dit qu’elle kiffait provoquer, et moi, j’ai voulu jouer les malins, mais elle m’a transformé en machine à tringler, une bête en rut. Du resto où elle m’a chauffé la bite comme une salope sans gêne au Uber où elle s’est astiquée sous mes doigts, jusqu’à chez moi où je l’ai défoncée dans tous les coins, elle m’a rendu accro, une drogue vivante. Ses mots crus, ses hurlements, son cul qui claquait sous mes coups, tout m’a fait vriller, et j’ai adoré la voir encaisser et supplier, une chienne qui prend tout. Ça m’a fait marrer dans ma tête : je voulais un plan tranquille, un peu de classe avec du piment, mais elle m’a offert une baise sauvage, un rodéo de salope, et j’ai plongé sans frein, la queue en feu. Je la rappellerais bien, pas juste pour la tringler encore, mais pour voir jusqu’où cette salope peut me pousser, un défi de voyou qui me fait bander rien que d’y penser. Ce plan m’a retourné, et je suis déjà prêt à remettre ça, histoire de voir si elle peut encore me faire cracher rncore plus et atteindre mes limites !