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Plan cul Gujan-Mestras
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Villes de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine
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Le plan cul de Marius et Deborah à Gujan-Mestras
Je m’appelle Marius, mais sur le site, je me fais appeler Chris, un pseudo qui rajeunit ma vieille carcasse. J’ai 70 piges, noir, 1m80, encore costaud pour mon âge, cheveux gris rasés, peau ridée mais un corps qui tient la route, dopé par des années de sport et une petite pilule bleue que je prends en douce, mon Viagra chéri. J’habite à Gujan-Mestras, dans une baraque près du port de Larros, un coin où les mouettes gueulent et où l’air sent l’iode et les huîtres, un décor qui cache mon appétit de vieux queutard. J’ai toujours été un baiseur, même à cet âge, et j’aime tringler des meufs plus jeunes, les secouer comme des poupées, les traiter de chiennes jusqu’à ce qu’elles couinent.
Mon bon plan pour baiser : Annonce-salope.fr
Deborah, je l’ai chopée sur annonce-salope.fr, une nana de 28 ans qui m’a répondu à mon annonce bien hardcore, un texte qui pue le cul brut. Elle m’a dit qu’elle kiffait les plans violents, les yeux bandés, et moi, j’ai proposé un scénario qui sent la débauche : arriver chez elle, porte déverrouillée, elle m’attendant à poil sur son lit, aveuglée, prête à se faire démonter comme une salope. J’ai posté des vieilles photos de moi à 45 ans, baraqué, beau gosse, sans préciser que j’ai pris 25 piges dans la gueule, un petit mensonge pour ferrer la proie. À Gujan, j’ai débarqué, et putain, je l’ai ravagée comme un taureau sous stéroïdes.
J’entre chez elle et je la trouve les yeux masqués
On a tout calé sur le tchat, un échange qui sentait déjà la baise crade. Elle m’écrit, « J’kiffe le sexe violent, vaginal, anal, fais-moi mal au pieu, éclate-moi ». Moi, je lui balance, « T’es une salope qui va prendre cher, laisse-moi te tringler à l’aveugle, tu vas morfler, ma chienne ». Elle valide, me file son adresse, un appart près du parc de la Chêneraie, et me dit de venir à 20h, porte ouverte, bandeau sur les yeux, un cadeau prêt à déballer. J’arrive, Viagra avalé une heure avant, ma queue déjà gonflée sous mon froc, un bâton prêt à taper. Je pousse la porte, entre sans bruit, lave mes mains au lavabo pour l’hygiène, comme promis, un gentleman avant de devenir un porc. Dans sa chambre, lumière tamisée, elle est là, nue sur le lit, à quatre pattes, cul relevé comme une offrande, un bandeau noir sur les yeux. Brune, cheveux longs qui tombent sur ses épaules, peau claire, seins qui pendent un peu, chatte luisante entre ses cuisses écartées, une salope en vitrine. « T’es là, Chris ? » elle murmure, voix tremblante d’excitation, et je grogne, « Ouais, salope, prépare-toi à morfler, ton vieux est là ! » Elle rigole, « Viens me casser, alors, fais-moi hurler comme une pute ! »
Je lui déchire la gorge avec ma bite raide
Je me fous à poil, ma queue dure comme du bois grâce à la pilule, longue, épaisse, un gourdin de 70 balais prêt à tout défoncer. Je m’approche, lui attrape les cheveux, « Ouvre ta gueule, chienne, prends ton dessert », et elle obéit, bouche grande ouverte comme une salope affamée. Je lui enfonce ma bite direct, une gorge profonde crade, ma tête cognant son fond de gorge, un marteau dans sa bouche. Elle bave, ça dégouline sur son menton, une fontaine de salive, et je la baise par la bouche, secouant sa tête comme un pantin, un jouet à déglinguer. « T’es une pute à pipes, une salope qui boit tout » je lui crache, et elle gargouille, « J’kiffe, vas-y, bourre-moi la gueule ! » Dix minutes à lui ramoner le gosier, mes couilles claquant son visage, et elle tousse, excitée, aveugle sous son bandeau, une chienne qui kiffe le massacre. Je me retire, la laisse reprendre son souffle, « T’es qu’un trou, Deborah, un vide-couilles », et elle halète, « Baise-moi ailleurs, maintenant, éclate-moi les trous ! »
Je lui explose la chatte à coups de reins
Je la retourne, la plaque sur le dos, écarte ses cuisses d’un coup sec, un geste de bûcheron. Sa chatte est trempée, lèvres roses ouvertes comme une fleur baveuse, et je la pénètre brutalement, ma bite la remplissant d’un seul thrust, un bélier dans son antre. « T’es une salope qui prend tout, une chienne à jus » je grogne, et elle hurle, « Déchire-moi, Chris, fais-moi gueuler comme une truie ! » Je la pilonne, mes hanches claquant contre elle, secouant son corps comme une marionnette, ses seins qui ballottent à chaque coup, un spectacle de viande. Je la baise vingt minutes, elle jouit deux fois, sa mouille giclant sur mes couilles, une fontaine de salope, et je tiens bon, infatigable grâce au Viagra, un vieux moteur qui ronfle. « T’es une chienne en chaleur, une salope qui explose » je lui dis, et elle crie, « Encore, putain, encore, fais-moi crever ! » Je la retourne encore, la prends en levrette, la secouant jusqu’à ce qu’elle s’effondre, à bout, une poupée cassée.
Je lui ravage le cul jusqu’à l’épuisement
Je crache sur son cul, son trou serré qui palpite comme un défi, et je l’encule d’un coup, ma bite s’enfonçant dans son anus étroit, un étau qui me serre. « T’es une pute anale, une salope à fion » je siffle, et elle gémit, « Casse-moi le cul, vas-y, éclate-moi le derche ! » Je la défonce, profond, mes mains agrippant ses hanches, la secouant comme un jouet cassé, un marteau-pilon dans son cul. Elle hurle, jouit encore, son cul serrant ma queue comme un piège, et je continue, trois rounds de baise, vaginal, anal, vaginal encore, ma vigueur de dingue la laissant pantelante, une salope K.O. « T’es infatigable, putain, un taureau sous Viagra » elle souffle, et je rigole, « T’as pas idée, salope, je suis un vieux qui cogne ! » Elle tremble, à moitié morte, et je sens que c’est l’heure de clore le bal.
Je lui noie la bouche de foutre après l’avoir galochée
Je la redresse, arrache son bandeau d’un coup, et elle cligne des yeux, me découvre : un vieux de 70 ans, ridé, pas le Chris de 45 ans des photos, un choc qui lui coupe le souffle. « Putain, t’es qui, toi ? Un papi pervers ? » elle lâche, choquée mais éclatant de rire, et me tend ses lèvres comme une salope qui assume. Je la galoche direct, ma langue baveuse dans sa bouche, un baiser dégoulinant qu’elle prend malgré elle, un mélange de vice et de délire. « T’es une salope, et je vais te finir » je lui dis, et je lui enfonce ma bite dans la gorge une dernière fois, un dernier round crade. Elle suce, baveuse, une fontaine qui déborde, et je jouis, un flot épais qui lui remplit la bouche, déborde sur ses lèvres, une douche de foutre de vieux. « Avale, chienne » je grogne, et elle obéit, essoufflée, « T’es un vieux porc, mais t’as bien baisé, un papi qui assure ! » Je ris, « Viagra, ma belle, c’est mon carburant, un secret de vieux salaud ! »
Avis sur cette baise sauvage
Deborah m’a mis une claque, et Gujan-Mestras, avec ses ports qui puent l’iode et ses pins qui regardent passer les bateaux, m’a semblé plus crade ce soir-là, un décor qui mate mes conneries avec un sourire en coin. Elle m’a dit qu’elle kiffait le hard, et moi, j’ai joué le jeune Chris pour la tringler comme un taureau, mais quand elle a vu ma gueule de vieux, elle a flippé avant de rigoler, ma bite dopée au Viagra l’a tellement secouée qu’elle m’a pardonné sur le coup. Elle m’a trouvé pas dégueu pour 70 balais, et j’ai kiffé la voir morfler sous mes coups, une poupée à défoncer qui couinait comme une chienne. Mais après, elle m’a lâché, « T’es bon, mais je te reverrai pas, t’as menti, vieux cochon », un coup de pied au cul qui m’a fait marrer. Ça m’a fait cogiter, un peu : je voulais juste la baiser à fond, et j’ai cartonné, mais jouer au jeune, c’était un pari foireux. J’ai adoré la démonter, la traiter de salope, et elle a joui comme une dingue, mais je me dis que je pourrais choper une meuf qui assume un vieux baiseur comme moi, sans masque, sans faux-semblants, une salope qui me prend pour ce que je suis, un papi qui cogne encore. Ce plan m’a éclaté, et je suis déjà prêt à remettre ma queue au boulot avec une autre chienne !